C’est un aveu
C’est un fleuve, un océan
Qui déborde et qui surprend
Un prisonnier se démenant
Et de ses chaînes se libérant
C’est un roman, un simple mot
Qui a mûri bien trop longtemps
Et dans nos yeux et nos sanglots
A pu grandir avec le temps
C’est un brasier, c’est un volcan
Qui se rallume en explosant
C’est un soupir, c’est un instant
Qui se fait jour en existant
Il est de joie ou de tristesse
Il enhardit les valeureux
Il est criant, parfois il blesse
Il est troublant, c’est un aveu
Il est de tristesse ou de joie
Il ne connaît pas très bien l'heure
Il s'échappe du bout des doigts
Ou se murmure avec douceur
C’est un fleuve, un océan
Qui déborde et qui surprend
Un prisonnier se démenant
Et de ses chaînes se libérant
C’est un roman, un simple mot
Qui a mûri bien trop longtemps
Et dans nos yeux et nos sanglots
A pu grandir avec le temps
C’est un brasier, c’est un volcan
Qui se rallume en explosant
C’est un soupir, c’est un instant
Qui se fait jour en existant
Il est de joie ou de tristesse
Il enhardit les valeureux
Il est criant, parfois il blesse
Il est troublant, c’est un aveu
Il est de tristesse ou de joie
Il ne connaît pas très bien l'heure
Il s'échappe du bout des doigts
Ou se murmure avec douceur