C'est si difficile de décrire ce que je ressens,
Comme le vent qui ballait mes battements trop lents...
Comme l'Océan qui interpèle irrésistiblement...
C'est si difficile de dire qu'on a les mains en sang,
Quand je vais me coucher, je laisse mes rêves sur le papier,
Eclairée par une chandelle, la feuille apprend aux maux à déposer,
leur couleur sur mes phalanges, d'encre imbibées,
Ces lettres; mon coeur à la recherche d'une autre âme esseulée,
Ce matin je me lève, cherchant en ce nouveau jour,
La lumière qui guidera mes pas sourds,
Encore une fois je laisse mes yeux regarder en bas,
Ils savent que demain ne sera pas mieux que là...
C'est si difficile de décrire ce que je ressens,
J'ai peur du futur et regrette le passé,
Comme la lune, douceur effervescente,
Et ce poids sur mes épaules, à détester...
Demain, je me demande "Qui donc craquera" ?
Dans ce triste univer, on se perd tour à tour,
Peut être que ce connaître, amour, on ne pourra...
Et crois moi, je porte en mon soleil un coeur très lourd...
Demain ne sera peut être pas pire,
Car une fois, j'ai vu le ciel mourir,
Une larme nuageuse commencer à le couvrir,
Et l'Océan, jaloux de son reflet, sourire....
Difisia
Comme le vent qui ballait mes battements trop lents...
Comme l'Océan qui interpèle irrésistiblement...
C'est si difficile de dire qu'on a les mains en sang,
Quand je vais me coucher, je laisse mes rêves sur le papier,
Eclairée par une chandelle, la feuille apprend aux maux à déposer,
leur couleur sur mes phalanges, d'encre imbibées,
Ces lettres; mon coeur à la recherche d'une autre âme esseulée,
Ce matin je me lève, cherchant en ce nouveau jour,
La lumière qui guidera mes pas sourds,
Encore une fois je laisse mes yeux regarder en bas,
Ils savent que demain ne sera pas mieux que là...
C'est si difficile de décrire ce que je ressens,
J'ai peur du futur et regrette le passé,
Comme la lune, douceur effervescente,
Et ce poids sur mes épaules, à détester...
Demain, je me demande "Qui donc craquera" ?
Dans ce triste univer, on se perd tour à tour,
Peut être que ce connaître, amour, on ne pourra...
Et crois moi, je porte en mon soleil un coeur très lourd...
Demain ne sera peut être pas pire,
Car une fois, j'ai vu le ciel mourir,
Une larme nuageuse commencer à le couvrir,
Et l'Océan, jaloux de son reflet, sourire....
Difisia
