Rien, en eux, ne cloche vraiment
les gens heureux n'ont pas d'histoire
À raconter en la langue
Des blessés, des naufragés
Car tout se tient, se parle,
Les murmures ,même, osent
Glisser sur leurs âmes pleines
De profonds sourires
Qui par grand vent, vont semer
Les rives aux ruisseaux gorgés
D'aventures nourries aux perles
D'azur et au nacre de mer
Les gens heureux n'ont pas d'histoire
Ils passent sans bruit, aux côtés,
Des fantômes pesant sur l'ombre
de vos pas chaussant le soir
Ils habitent sans peur le monde
Chassant les déserts arides
On les devine à leur teint rose
À l'étendue de leur bravoure
Les gens heureux n'ont pas d'histoire
Ils n'écrivent que pages blanches
Qui ébranlent les regards blêmes
De ceux qui vivent sans savoir
les gens heureux n'ont pas d'histoire
À raconter en la langue
Des blessés, des naufragés
Car tout se tient, se parle,
Les murmures ,même, osent
Glisser sur leurs âmes pleines
De profonds sourires
Qui par grand vent, vont semer
Les rives aux ruisseaux gorgés
D'aventures nourries aux perles
D'azur et au nacre de mer
Les gens heureux n'ont pas d'histoire
Ils passent sans bruit, aux côtés,
Des fantômes pesant sur l'ombre
de vos pas chaussant le soir
Ils habitent sans peur le monde
Chassant les déserts arides
On les devine à leur teint rose
À l'étendue de leur bravoure
Les gens heureux n'ont pas d'histoire
Ils n'écrivent que pages blanches
Qui ébranlent les regards blêmes
De ceux qui vivent sans savoir