Cent s......ans.
Bon sang ! Thérèse, ça va être ta fête,
Du père cent, sans tambour ni trompette,
Sans vouloir être sans-gêne, mais jaillissant,
Volant comme Aladin sur un tapis persan,
J’n’voulais pas être absent de mes vers appétissants,
Dansant, bondissant et moussant en jaillissant,
Bâtissant, repoussant tes maux, en mots progressant,
Otant, plissant ou polissant sans être blessant,
Définissant et enrichissant en divertissant,
M’amollissant comme un santon attendrissant,
Ne te fait pas du mauvais sang d’mon humour incessant,
Et me voilà stressant mon sandwich en main glissant,
Nourrissant en pourchassant des termes ravissants,
Tapissant mes propos de beaux adjectifs caressants,
Engourdissant tes sanglots de santé, les anéantissant,
J’ne suis pas sans-cœur, ni sans-abri, j’suis là en passant,
Dans mes sandales, en te délassant où en dansant,
Verre de sancerre où de sangria en main, pensant,
A un hommage appétissant et puissant t’attendrissant,
Je n’veux pas être trop envahissant en te délassant,
De mes plus nobles sentiments, les nourrissants,
Me rafraîchissant comme ta longévité me saisissant,
Intéressant et de mon jeune âge me guérissant,
Obéissant en me réjouissant de ton sourire apparaissant,
Ce ne fut pas un travail harassant ni compatissant,
Les lettres jaillissant sous ma plume en rougissant,
M’angoissant du versant d’une boutade te vieillissant,
De composer cet écrit, ni voit rien d’embarrassant,
Me tracassant de trouver l’humour grandissant,
Remplissant en réfléchissant de cent expressions en «san»,
Ramollissant dans mettre tant aurait trop languissant,
Alors par des cris assourdissants, en les poussant,
Avec tous ces mots en phonétique de cent,
Je te souhaite un joyeux anniversaire pour tes cent ans.
P.S.
Je sens et je ressens que mes propos sont lassants,
Mais laçant et remplaçant tous tes maux glaçants,
Par un regain d’amitié pour ton siècle neuf, le tapissant,
Délaissant et anéantissant tous les mots oppressants,
En t’enlaçant et t’embrassant, mais jamais renversant,
Reconnaissant pour assouplir tous tes jours cassants,
Rugissant, mais impuissant envers le monde salissant,
Punissant les actes engourdissants et blessants,
J’ai écrit et je les crie, mes propos fracassants :
Joyeux anniversaire Thérèse.
Espérant que mon baratin te plaise.
Bon sang ! Thérèse, ça va être ta fête,
Du père cent, sans tambour ni trompette,
Sans vouloir être sans-gêne, mais jaillissant,
Volant comme Aladin sur un tapis persan,
J’n’voulais pas être absent de mes vers appétissants,
Dansant, bondissant et moussant en jaillissant,
Bâtissant, repoussant tes maux, en mots progressant,
Otant, plissant ou polissant sans être blessant,
Définissant et enrichissant en divertissant,
M’amollissant comme un santon attendrissant,
Ne te fait pas du mauvais sang d’mon humour incessant,
Et me voilà stressant mon sandwich en main glissant,
Nourrissant en pourchassant des termes ravissants,
Tapissant mes propos de beaux adjectifs caressants,
Engourdissant tes sanglots de santé, les anéantissant,
J’ne suis pas sans-cœur, ni sans-abri, j’suis là en passant,
Dans mes sandales, en te délassant où en dansant,
Verre de sancerre où de sangria en main, pensant,
A un hommage appétissant et puissant t’attendrissant,
Je n’veux pas être trop envahissant en te délassant,
De mes plus nobles sentiments, les nourrissants,
Me rafraîchissant comme ta longévité me saisissant,
Intéressant et de mon jeune âge me guérissant,
Obéissant en me réjouissant de ton sourire apparaissant,
Ce ne fut pas un travail harassant ni compatissant,
Les lettres jaillissant sous ma plume en rougissant,
M’angoissant du versant d’une boutade te vieillissant,
De composer cet écrit, ni voit rien d’embarrassant,
Me tracassant de trouver l’humour grandissant,
Remplissant en réfléchissant de cent expressions en «san»,
Ramollissant dans mettre tant aurait trop languissant,
Alors par des cris assourdissants, en les poussant,
Avec tous ces mots en phonétique de cent,
Je te souhaite un joyeux anniversaire pour tes cent ans.
P.S.
Je sens et je ressens que mes propos sont lassants,
Mais laçant et remplaçant tous tes maux glaçants,
Par un regain d’amitié pour ton siècle neuf, le tapissant,
Délaissant et anéantissant tous les mots oppressants,
En t’enlaçant et t’embrassant, mais jamais renversant,
Reconnaissant pour assouplir tous tes jours cassants,
Rugissant, mais impuissant envers le monde salissant,
Punissant les actes engourdissants et blessants,
J’ai écrit et je les crie, mes propos fracassants :
Joyeux anniversaire Thérèse.
Espérant que mon baratin te plaise.
Dernière édition: