Ce soir.... !
Ce soir j’ai besoin d’écrire....
Ressortir les sentiments, qui me limitent la joie
D’ouvrir ce vieux tiroirs...Compagnon !
Qui a gardé.......qui garde....
Des lignes sculptées sur blancheur
Encré de beau passages...
Encré le mauvais....tellement sa lourdeur !
Qui m’encombre la vision matinale...
......la vie est comme ça !
A deux chemins...! Elle récompense
Qu’elle oxygène, nous ranimons !
A qui le savoir de sensation.......
A mon age la confiance entoure cette page
Cette image à unique cadrage....
D’une liberté immense....sans frontière
Je me sens le cavalier à sentiments pacifique
Armé d’une plume ...chargé d’encre !
....et des émois si seins à offrir
Elles se cheminent vers l’infinité..... !
Laissant le noir demeure le blanc
Elles me soulage et le cœur page
Cette liberté montagnard pleur l’age
Comment les premiers ont plantées la continuité
La terre était un paysage à jeune visage
Cette liberté montagnarde sourit son age
Pour une vie belle et douce, a en profité
De ces lois, nul n’est a l’abondons
Elle nous dicte le vrai....on écrient le faux
La joie je l’offre...comme elle m’est offerte
A une minime j’arpente sans cesse
Le pessimisme est loin d’être le coin !
Ce soir j’ai besoin d’écrire....
Ressortir les sentiments, qui me limitent la joie
D’ouvrir ce vieux tiroirs...Compagnon !
Qui a gardé.......qui garde....
Des lignes sculptées sur blancheur
Encré de beau passages...
Encré le mauvais....tellement sa lourdeur !
Qui m’encombre la vision matinale...
......la vie est comme ça !
A deux chemins...! Elle récompense
Qu’elle oxygène, nous ranimons !
A qui le savoir de sensation.......
A mon age la confiance entoure cette page
Cette image à unique cadrage....
D’une liberté immense....sans frontière
Je me sens le cavalier à sentiments pacifique
Armé d’une plume ...chargé d’encre !
....et des émois si seins à offrir
Elles se cheminent vers l’infinité..... !
Laissant le noir demeure le blanc
Elles me soulage et le cœur page
Cette liberté montagnard pleur l’age
Comment les premiers ont plantées la continuité
La terre était un paysage à jeune visage
Cette liberté montagnarde sourit son age
Pour une vie belle et douce, a en profité
De ces lois, nul n’est a l’abondons
Elle nous dicte le vrai....on écrient le faux
La joie je l’offre...comme elle m’est offerte
A une minime j’arpente sans cesse
Le pessimisme est loin d’être le coin !
Comme si tranquille les moments solitaires
L’apparence est loin d’être la réponse
Essayer pour une fois....autre fois..... d’écrire le soin !
D’analysé ce cœurs mal récompensé
De bien dimensionné sa grandeur
De bien estimer sa vraie valeur...
.....Trouvera-tu l’âme est très chère
Que mes sentiments sont dictés...
Sur des pages, les mots sont alignés
Oh, mon Dieu, est ce vrai ce charmille choisi !
......ce passage couvert de Caillaux
Que nos ancêtres, ont enlevé le mal
D’un souffle sein, ont construits leur nature
Oh, mon Dieu est ce vrai cette récolte...
....qu’on appelle modernité !
Cette modernité me paraît extérieure.....
...... intérieurement ! Vraiment je ne le sais pas !
Une réalité prouvée a chaque image
L’étape si vaste, sans lumière
Des jours enterrées.....a l’oublie sont jetées
Leurs traces, un arbre crie sa soif !
Feuilleter ce vieux livre....
Le trouvé encré, sans respecter la marge
Les mains ont bien classées...
Le cœur était sincère
J’aimerai bien passé un moment... vivre ce temps
Ramené la joie si naïve
Apprendre la clémence....
Qui est partagé avec toute êtres..
.......Toute âme a trouvé sa valeur
De vivre le mot, qui rend le visage souriant
Pas de place pour l’hypocrisie
Pas de mot blessant.....
Et s’il était...., le pardon l’effaçait..
Avant que le soleil commencera la journée.
Des larmes si chaudes...
En sentant ce temps demeure ces lignes
Où sont passées, les mots simples...
Les mots qui sèment la joie
Entre le père et son fils..
Entre le couple
Entre ami
Entre frère
Redonnant vie a notre âme..
Pas a notre corps
Bâtir, sauver, soulager une âme.... !
Je prier Dieu..
Le tout puissant..
Le seul, a qui nous appartenant..
Le puissant, qui nous sauve du mal
De nous donnera le pouvoir, pour le savoir
De remplir nos âmes, si pauvre et si soifs.
De nous guider a complété notre rôle terrestre
Pour le quel nous a crée
De sagesse, la clémence, la patience et l’amour
Le soi trouvera ça joie
Inchallah
L’apparence est loin d’être la réponse
Essayer pour une fois....autre fois..... d’écrire le soin !
D’analysé ce cœurs mal récompensé
De bien dimensionné sa grandeur
De bien estimer sa vraie valeur...
.....Trouvera-tu l’âme est très chère
Que mes sentiments sont dictés...
Sur des pages, les mots sont alignés
Oh, mon Dieu, est ce vrai ce charmille choisi !
......ce passage couvert de Caillaux
Que nos ancêtres, ont enlevé le mal
D’un souffle sein, ont construits leur nature
Oh, mon Dieu est ce vrai cette récolte...
....qu’on appelle modernité !
Cette modernité me paraît extérieure.....
...... intérieurement ! Vraiment je ne le sais pas !
Une réalité prouvée a chaque image
L’étape si vaste, sans lumière
Des jours enterrées.....a l’oublie sont jetées
Leurs traces, un arbre crie sa soif !
Feuilleter ce vieux livre....
Le trouvé encré, sans respecter la marge
Les mains ont bien classées...
Le cœur était sincère
J’aimerai bien passé un moment... vivre ce temps
Ramené la joie si naïve
Apprendre la clémence....
Qui est partagé avec toute êtres..
.......Toute âme a trouvé sa valeur
De vivre le mot, qui rend le visage souriant
Pas de place pour l’hypocrisie
Pas de mot blessant.....
Et s’il était...., le pardon l’effaçait..
Avant que le soleil commencera la journée.
Des larmes si chaudes...
En sentant ce temps demeure ces lignes
Où sont passées, les mots simples...
Les mots qui sèment la joie
Entre le père et son fils..
Entre le couple
Entre ami
Entre frère
Redonnant vie a notre âme..
Pas a notre corps
Bâtir, sauver, soulager une âme.... !
Je prier Dieu..
Le tout puissant..
Le seul, a qui nous appartenant..
Le puissant, qui nous sauve du mal
De nous donnera le pouvoir, pour le savoir
De remplir nos âmes, si pauvre et si soifs.
De nous guider a complété notre rôle terrestre
Pour le quel nous a crée
De sagesse, la clémence, la patience et l’amour
Le soi trouvera ça joie
Inchallah
Med77
24 04 2004
24 04 2004