Ce soir, ça y'est je me lance,
Je ne sais pas où je vais,
Ni qui je suis,
Ma raison s'affole,
Et mes doutes remontent à la surface.
Ce soir, j'écris des mots sur du papier avec l'encre d'un stylo qui ne s'efface jamais,
Ces mots, sont pour effacer la souffrance,
Je ne veux blesser personne,
Mais j'ai honte.
C'est soir, c'est la pleine lune,
Elle monte lentement au firmament,
Emportant avec elle, les injustices du monde.
Ce soir, c'est humide,
J'ai peine à m'endormir,
Il y a longtemps que je ne rêve plus.
Ce soir, je crie en silence,
Pour ne pas alerter personne,
Ce soir, je voudrais m'envoler ailleurs,
Et ne jamais revenir,
Je désirerais partir avec mon chat pour me tenir au chaud pendant les longues soirées d'hiver.
Ce soir, les lumières ce sont éteintes,
L'heure n'est plus aux lamentations,
Mais aux accomplissements.
Ce soir, ce soir, hélas je suis perdue.
Ne me secourez pas,
Il est bien trop tard.
Au revoir,
Percéphone
Je ne sais pas où je vais,
Ni qui je suis,
Ma raison s'affole,
Et mes doutes remontent à la surface.
Ce soir, j'écris des mots sur du papier avec l'encre d'un stylo qui ne s'efface jamais,
Ces mots, sont pour effacer la souffrance,
Je ne veux blesser personne,
Mais j'ai honte.
C'est soir, c'est la pleine lune,
Elle monte lentement au firmament,
Emportant avec elle, les injustices du monde.
Ce soir, c'est humide,
J'ai peine à m'endormir,
Il y a longtemps que je ne rêve plus.
Ce soir, je crie en silence,
Pour ne pas alerter personne,
Ce soir, je voudrais m'envoler ailleurs,
Et ne jamais revenir,
Je désirerais partir avec mon chat pour me tenir au chaud pendant les longues soirées d'hiver.
Ce soir, les lumières ce sont éteintes,
L'heure n'est plus aux lamentations,
Mais aux accomplissements.
Ce soir, ce soir, hélas je suis perdue.
Ne me secourez pas,
Il est bien trop tard.
Au revoir,
Percéphone