Je ferme un instant mes paupières
pour chercher se qui m'éclaire.
Mais dans ma mémoire
ce jour restera noir.
A ce moment ou je t'ai vu allongé
tout a basculé, tu t'en es allée,
mes lévres ont éssayées
de rester scéllées
mais je n'ai pu m'empécher de pleurer.
Mes larmes t'ont accompagnés.
C'est ici que finie ta souffrance
et que ma peine commence.
Les étoiles vont t'ammené au paradis
puis te guider dans ta nouvelle vie.
Mais promet moi que tu prendras soin de toi
car un jour, je te retrouverais là-bas.
Adieu sur terre, mais pas dans mon coeur...
A ma grand-mére, décédée le 3 octobre 2007.
Ce poéme est le sien
pour qu'elle vive encore
à travers ses quelques lignes.