O rivière du monde ténèbeux et soutterain
Guidés par la nature de l’Homme et ses instincts
Grandes puissance de ce monde, force anihilatrice
O Destin sous le masque d’une bienveillance protectrice
Malheureux est l’homme , qui de Gaïa est l’ennemie
Sous d’éphèmere prière tentatrices inutils
Sentiments désespérée, O nature futil
Grande perdante de cette nouvelle et puissante patrie
Destin ésquissée préconçues et si puissant
Nature à l’eveil dans les ténèbres veil
Face au destin l’ homme est toujours le grand perdant
O rivières de sang qui coule, couleurs vermeille
Grands fleuves qui charrie de si puissantes effluves
Symboles d’un couleur sang cloitrés dans une cuve
Teinté de milles reflets brillznts si miroitants
O l’homme n’est qui jouet d’un destin si humilant
Tel est le Destin faiseur heureux de bonheur
Tel est le Desin faiseurs joyeux de la Mort