C’est le poème qui me tient ce langage
Car à l’heure où je l’écris, je ne sais pas où je vais pour finir !!
Poème fait d’un trait le 9 septembre 2014
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Parle avec les deux yeux et vois avec les mots,
Tu sens que l’air fait battre un mouvement du cœur
Que tu ne peux toucher qu’en ne goûtant qu’aux maux !
Surgissent de l’inné les profondes saveurs
D’un sentiment extrême héro de l’univers
Répandant son parfum en suc de vérité !
Il s’éventre et se couche en toi ce ciel sévère
Déversant ses talents nourrit l’immensité.
De la création longe l’ombre du fruit,
Toi, corpuscule errant parmi l’étrangeté!
Tu ratisses sa trame à l’horizon réduit
Alors que ses desseins étaient de projeter
Ses feux faits de candeur illuminant ta nuit,
A l’heure où tout s’endort quand veille l’étrier !
Perçois-tu son vermeil qui berce ton ouïe ?
Tu côtoies tout et rien, Toi, portion d’un entier !
Parle avec les deux yeux et vois avec les mots,
Tu sens que l’air fait battre un mouvement du cœur
Que tu ne peux toucher qu’en ne goûtant qu’aux maux !
Surgissent de l’inné les profondes saveurs
D’un sentiment extrême héro de l’univers
Répandant son parfum en suc de vérité !
Il s’éventre et se couche en toi ce ciel sévère
Déversant ses talents nourrit l’immensité.
De la création longe l’ombre du fruit,
Toi, corpuscule errant parmi l’étrangeté!
Tu ratisses sa trame à l’horizon réduit
Alors que ses desseins étaient de projeter
Ses feux faits de candeur illuminant ta nuit,
A l’heure où tout s’endort quand veille l’étrier !
Perçois-tu son vermeil qui berce ton ouïe ?
Tu côtoies tout et rien, Toi, portion d’un entier !
Polymnie2, ce 23 novembre 2022
déjà posé en 2020
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