Mille baisers au soir, ô dévorant amour
Bonsoir madame, donnez-moi vos jours
Dans mes mains j’ai des fleurs roses
Qui sont comme vos lèvres : demi-closes.
Vous serez ce feu qui dévorera mon âme
Dans mes deux mains jointes j’entretiendrai sa flamme
Tous vos calmes jours se suivront d’autres plus beaux
Et j’emporterai vers vous un chant toujours nouveau.
Je m’ouvrirai à votre exquise douceur
Comme s’ouvre au vent les charmantes fleurs
Sous les houles de votre haleine qui se balancent
Chaque fois que la nuit se remplira d’un magique silence.
Ne prenant point garde aux caresses de vos yeux
Contemplant votre visage si mystérieux
Madame, j’aimerai en ces instants suprêmes
Vous avouer combien je vous aime.
Mille baisers au soir, ô dévorant amour
Bonsoir madame, donnez-moi vos jours
Dans mes mains je n’ai pas grand-chose
Si ce n’est ce bouquet de roses.
Japhet
Bonsoir madame, donnez-moi vos jours
Dans mes mains j’ai des fleurs roses
Qui sont comme vos lèvres : demi-closes.
Vous serez ce feu qui dévorera mon âme
Dans mes deux mains jointes j’entretiendrai sa flamme
Tous vos calmes jours se suivront d’autres plus beaux
Et j’emporterai vers vous un chant toujours nouveau.
Je m’ouvrirai à votre exquise douceur
Comme s’ouvre au vent les charmantes fleurs
Sous les houles de votre haleine qui se balancent
Chaque fois que la nuit se remplira d’un magique silence.
Ne prenant point garde aux caresses de vos yeux
Contemplant votre visage si mystérieux
Madame, j’aimerai en ces instants suprêmes
Vous avouer combien je vous aime.
Mille baisers au soir, ô dévorant amour
Bonsoir madame, donnez-moi vos jours
Dans mes mains je n’ai pas grand-chose
Si ce n’est ce bouquet de roses.
Japhet