Bonjour mademoiselle
( A Prescillia et à fifi aussi)
Je t’ai assez aimée quand tu étais petite,
Je t’ai assez grondée aussi puisqu’il fallait.
L’enfance n’est qu’un temps il faut bien qu’on le quitte,
Parfois il faut savoir se servir du balai.
Je ne t’ai pas aimée dans ton adolescence,
Puisque c’est cet amour qui s’impatiente en moi,
J’attends qu’à ces beaux jours, tu fasses déférence,
Et que ton cher destin ne se plie qu’à tes choix.
Il est temps ma chérie de tenter l’aventure,
De te jeter à l’eau, si tu veux, doucement.
N’aies pas peur, c’est la vie, et si ça te rassures
Tu trouveras là-bas mon amour qui t’attend.
Ne trembles pas, chérie, c’est ça l’adolescence,
Des plaisirs rien qu’à toi, puisque tu m’oublieras,
En cas de coup dur mon ineffable présence,
Saura calmer ton cœur tremblant entre mes bras.
En secret, loin en moi, tu es toujours un ange,
Mais je ne le dis plus, et j’ai l’œil différent,
Car ton esprit s’agite autant que ton corps change,
Puisque tu as grandi je veux que tu vois grand.
Ta vie c’est désormais, les copains, les copines,
Car tu vas t’éloigner inexorablement,
Et sur ce beau chemin, pourvu que tu lambines,
J’avoue, j’aimerais bien que tu prennes ton temps.
Puisque tu es un ange, alors tu as des ailes,
Et dans l’instant prochain tu vas les déployer.
Au revoir mon enfant, bonjour mademoiselle,
D‘autres sur terre, hélas, souhaitent te choyer.
Hélas ? J’ai dit Hélas ? Comme un vieil égoïste !
La force de l’amour le corrige en : …Tant mieux…
Tu as droit de croquer tout le bien qui existe,
Et au loin, ton bonheur, fera briller mes yeux.
Dada, le 03/09/2011
( A Prescillia et à fifi aussi)
Je t’ai assez aimée quand tu étais petite,
Je t’ai assez grondée aussi puisqu’il fallait.
L’enfance n’est qu’un temps il faut bien qu’on le quitte,
Parfois il faut savoir se servir du balai.
Je ne t’ai pas aimée dans ton adolescence,
Puisque c’est cet amour qui s’impatiente en moi,
J’attends qu’à ces beaux jours, tu fasses déférence,
Et que ton cher destin ne se plie qu’à tes choix.
Il est temps ma chérie de tenter l’aventure,
De te jeter à l’eau, si tu veux, doucement.
N’aies pas peur, c’est la vie, et si ça te rassures
Tu trouveras là-bas mon amour qui t’attend.
Ne trembles pas, chérie, c’est ça l’adolescence,
Des plaisirs rien qu’à toi, puisque tu m’oublieras,
En cas de coup dur mon ineffable présence,
Saura calmer ton cœur tremblant entre mes bras.
En secret, loin en moi, tu es toujours un ange,
Mais je ne le dis plus, et j’ai l’œil différent,
Car ton esprit s’agite autant que ton corps change,
Puisque tu as grandi je veux que tu vois grand.
Ta vie c’est désormais, les copains, les copines,
Car tu vas t’éloigner inexorablement,
Et sur ce beau chemin, pourvu que tu lambines,
J’avoue, j’aimerais bien que tu prennes ton temps.
Puisque tu es un ange, alors tu as des ailes,
Et dans l’instant prochain tu vas les déployer.
Au revoir mon enfant, bonjour mademoiselle,
D‘autres sur terre, hélas, souhaitent te choyer.
Hélas ? J’ai dit Hélas ? Comme un vieil égoïste !
La force de l’amour le corrige en : …Tant mieux…
Tu as droit de croquer tout le bien qui existe,
Et au loin, ton bonheur, fera briller mes yeux.
Dada, le 03/09/2011