Ce matin, il neige sur son cœur
Il pleut, il vente, et elle se perd
Tout est blanc
Un peu comme son papier
Tout est gris
Un peu comme l’allure de sa vie
Tout se froisse
Mais rien ne se passe
Elle sourit
Les rimes s’emparent
de ses maux et les remplacent
e matin, tout est flou
De ce monde, elle s’en fou
Mais Le papier tarde à se noircir
Par ces vers
Formant son univers
Ce matin elle se noie
Sous le port de ces larmes
Ce matin elle cherche le soleil
Mais la peur la désarme
Le papier blanc la défie
L’envie d’écrire s’amplifie
Et la sirène prend sa lyre
Se dépêche sur un navire
A traverser la mer des poèmes
Contre ces orages guettent ces pages
ce matin il n’ya po de lumière
Pourtant tout est claire
Il n y’a qu’une vérité
qui l'éclaire
Si elle s’entraine sur ce chemin
La mélancolie la rongera
Et la poésie ne pourra
La sauver de son destin
Il pleut, il vente, et elle se perd
Tout est blanc
Un peu comme son papier
Tout est gris
Un peu comme l’allure de sa vie
Tout se froisse
Mais rien ne se passe
Elle sourit
Les rimes s’emparent
de ses maux et les remplacent
e matin, tout est flou
De ce monde, elle s’en fou
Mais Le papier tarde à se noircir
Par ces vers
Formant son univers
Ce matin elle se noie
Sous le port de ces larmes
Ce matin elle cherche le soleil
Mais la peur la désarme
Le papier blanc la défie
L’envie d’écrire s’amplifie
Et la sirène prend sa lyre
Se dépêche sur un navire
A traverser la mer des poèmes
Contre ces orages guettent ces pages
ce matin il n’ya po de lumière
Pourtant tout est claire
Il n y’a qu’une vérité
qui l'éclaire
Si elle s’entraine sur ce chemin
La mélancolie la rongera
Et la poésie ne pourra
La sauver de son destin
