Besoin d'écrire mes maux
Besoin d'écrire ma souffrance
Je ne sais pas vraiment quoi dire
Je m'arme de mon stylo et j'écris ce que je pense
Je dépose violemment mes maux, je respire
Je ne vais pas bien alors je m'exprime
En quelques strophes, en quelques rimes
Mes textes sont une musique, comme une triste mélodie d'un piano
Emportée par la tristesse, je laisse échapper mes sanglots
Je ne suis pas un grand poète
Je n'écris rien d'extraordinaire
Simplement ce qui me passe par la tête
J'écris mes états d'âmes en quelques vers
Ma vie est un ciel sans étoiles
Une forêt sombre, un hiver froid, un soir sous la pluie
Sinistres décors où je me sens mal
Mon écrit est un cri déchirant dans la nuit
Je me réfugie dans mon cocon
J'aimerais m'envoler et trouver ma direction
Comme une chenille devient papillon
À la découverte de nouveaux horizons
Mais je m'écrase comme un oisillon tombé se son nid
Replié sous ses ailes, tellement vulnérable, tellement petit
Je pleure mais je continue ma route avec le bras cassé
Malgré tout, je continue de poser des lignes sur mon papier mouillé
Je tourne la page mais la suivante est la même
On récolte ce que l'on sème
Le passé me rattrape
L'avenir m'échappe
Quand je regarde devant, c'est le néant
Au-dessus de ma tête, le ciel est menaçant
Le vent commence à se lever
Il peut tout emporter mais pas mes regrets
Ma vie perd de sa splendeur comme un arbre perd ses feuilles en automne
Ne reste rien que des branches abandonnées
Le tableau devient vite sombre et les jours paraissent si monotones
Quand la vie s'est envolée
Comme on force l'ouverture
Avec la mauvaise clef dans la serrure
Je cherche celle qui m'ouvrira sur un éclat de lumière
Retrouver l'air, une nouvelle atmosphère
En attendant je poursuis l'écriture
La douleur en est toujours la signature
Sur la page elle prend toute la place
Je laisse une trace
Mes mots sont forts mais je suis faible certes
Je veux mourir avec un stylo à la main
Si mon cœur lâche, il ne sera pas d'une grande perte
C'est ainsi que s'achève mon dernier quatrain
Besoin d'écrire ma souffrance
Je ne sais pas vraiment quoi dire
Je m'arme de mon stylo et j'écris ce que je pense
Je dépose violemment mes maux, je respire
Je ne vais pas bien alors je m'exprime
En quelques strophes, en quelques rimes
Mes textes sont une musique, comme une triste mélodie d'un piano
Emportée par la tristesse, je laisse échapper mes sanglots
Je ne suis pas un grand poète
Je n'écris rien d'extraordinaire
Simplement ce qui me passe par la tête
J'écris mes états d'âmes en quelques vers
Ma vie est un ciel sans étoiles
Une forêt sombre, un hiver froid, un soir sous la pluie
Sinistres décors où je me sens mal
Mon écrit est un cri déchirant dans la nuit
Je me réfugie dans mon cocon
J'aimerais m'envoler et trouver ma direction
Comme une chenille devient papillon
À la découverte de nouveaux horizons
Mais je m'écrase comme un oisillon tombé se son nid
Replié sous ses ailes, tellement vulnérable, tellement petit
Je pleure mais je continue ma route avec le bras cassé
Malgré tout, je continue de poser des lignes sur mon papier mouillé
Je tourne la page mais la suivante est la même
On récolte ce que l'on sème
Le passé me rattrape
L'avenir m'échappe
Quand je regarde devant, c'est le néant
Au-dessus de ma tête, le ciel est menaçant
Le vent commence à se lever
Il peut tout emporter mais pas mes regrets
Ma vie perd de sa splendeur comme un arbre perd ses feuilles en automne
Ne reste rien que des branches abandonnées
Le tableau devient vite sombre et les jours paraissent si monotones
Quand la vie s'est envolée
Comme on force l'ouverture
Avec la mauvaise clef dans la serrure
Je cherche celle qui m'ouvrira sur un éclat de lumière
Retrouver l'air, une nouvelle atmosphère
En attendant je poursuis l'écriture
La douleur en est toujours la signature
Sur la page elle prend toute la place
Je laisse une trace
Mes mots sont forts mais je suis faible certes
Je veux mourir avec un stylo à la main
Si mon cœur lâche, il ne sera pas d'une grande perte
C'est ainsi que s'achève mon dernier quatrain
CynThia
Dernière édition: