Oh divine tristesse, mon gourou, ma maîtresse
Dans tes bras j'ai découvert tant de nuit d'ivresse.
Éprise sous un océan de larmes,
Lentement bercée par les lunes de nos âmes.
Si j'avais su que d'un regard tu m'aurai soumise
Que d'un geste tu saurai faire plier ma tour de Pise
J'aurai fuis, je n'aurai pas attendu d'être ta vendue
Si seulement j'avais su, si j'avais pu...
A présent je ne peux plus lutter
Car de tes lèvres tu m'as marquée
D'un sceau pourpre que nul ne peux effacer
Désormais il est si facile de se laisser aller...
Berce moi encore, apaise ma souffrance
Efface mes larmes, montre moi le chemin de l'errance
Ma chère Tristesse, doucement prend ma main
Emmène - moi dans un paradis sans fin.
Dans tes bras j'ai découvert tant de nuit d'ivresse.
Éprise sous un océan de larmes,
Lentement bercée par les lunes de nos âmes.
Si j'avais su que d'un regard tu m'aurai soumise
Que d'un geste tu saurai faire plier ma tour de Pise
J'aurai fuis, je n'aurai pas attendu d'être ta vendue
Si seulement j'avais su, si j'avais pu...
A présent je ne peux plus lutter
Car de tes lèvres tu m'as marquée
D'un sceau pourpre que nul ne peux effacer
Désormais il est si facile de se laisser aller...
Berce moi encore, apaise ma souffrance
Efface mes larmes, montre moi le chemin de l'errance
Ma chère Tristesse, doucement prend ma main
Emmène - moi dans un paradis sans fin.
Emeris