30 Juin 11
Je vous dis Au revoir d’aujourd’hui, non d’hier
Glissant et peu sur, non d’été mais d’hiver.
Celui – ci rayonne, vous éblouira de son bel éclat
Couleur d’aplomb et non de doute ;
Pas comme hier, fond sonore de mortifères vivats.
Évidemment, je n’irais plus là où vous irez
Quand bien même de tout votre cœur pourri vous désirez,
Je ne chanterais plus de toute ma voix d’absurdes glorias.
D’ici recommence ma vie d’une façon nouvelle.
Drogué au malheur, ma Belle – Amie vous aviez
Fait l’échange : plus de sourires à présent des larmes grêlent,
Vision lacrymale ! Vous preniez mon souffle et me cœur gèle.
Mais c’est fini – je vous le dis – c’est fini !
Et je vous le crie comme un enfant non- assagi,
Comme une tempête de teintes rouges sur une toile clinquante !
Fin de partie, ma Belle- Amie
Il est le temps du silence,
Il est temps que cela avance, sans vous mère- porteuse
Du malheur de nombreux hommes ;
Au revoir ? Plutôt à jamais ma Belle- Amie
Laissez moi, (avant seraient d’autres démarches)
Maintenant quittez-moi !, je force le pas.
Je vous dis Au revoir d’aujourd’hui, non d’hier
Glissant et peu sur, non d’été mais d’hiver.
Celui – ci rayonne, vous éblouira de son bel éclat
Couleur d’aplomb et non de doute ;
Pas comme hier, fond sonore de mortifères vivats.
Évidemment, je n’irais plus là où vous irez
Quand bien même de tout votre cœur pourri vous désirez,
Je ne chanterais plus de toute ma voix d’absurdes glorias.
D’ici recommence ma vie d’une façon nouvelle.
Drogué au malheur, ma Belle – Amie vous aviez
Fait l’échange : plus de sourires à présent des larmes grêlent,
Vision lacrymale ! Vous preniez mon souffle et me cœur gèle.
Mais c’est fini – je vous le dis – c’est fini !
Et je vous le crie comme un enfant non- assagi,
Comme une tempête de teintes rouges sur une toile clinquante !
Fin de partie, ma Belle- Amie
Il est le temps du silence,
Il est temps que cela avance, sans vous mère- porteuse
Du malheur de nombreux hommes ;
Au revoir ? Plutôt à jamais ma Belle- Amie
Laissez moi, (avant seraient d’autres démarches)
Maintenant quittez-moi !, je force le pas.