Babylone.
Oui je suis d’accord, je suis perdu
Sur les chemins des jardins suspendus
En chimères qui mènent à Babylone
C’est normal avec ce trop d’alcool.
En toute évidence je n’ai rien vu
Navigant sur l’océan inconnu
Miroir d’une pauvre vie convenue
Où glisse une brume, froide et imprévue
Oui, je suis d’accord, Je suis foutu
Sur la fumée d’une cigarette qui me tue
De folles idées brulent en mes lèvres
Murmurant les mystères de mes rêves
En toute évidence je n’ai rien entendu
Les jours où dressée sur la haute crête
Tu me dis mon amour, s’il te plaît, arrête !
Anecdote d’une incohérence saugrenue
Simple sera mon éloge funèbre
Faite de six planches de cèdre
Ma pensée s’enfuira sous les sables
Engloutissant mon âme misérable
Difficile, alors, de lutter contre soi
Le pire ennemi rencontré restera moi.
Loïc ROUSSELOT
Oui je suis d’accord, je suis perdu
Sur les chemins des jardins suspendus
En chimères qui mènent à Babylone
C’est normal avec ce trop d’alcool.
En toute évidence je n’ai rien vu
Navigant sur l’océan inconnu
Miroir d’une pauvre vie convenue
Où glisse une brume, froide et imprévue
Oui, je suis d’accord, Je suis foutu
Sur la fumée d’une cigarette qui me tue
De folles idées brulent en mes lèvres
Murmurant les mystères de mes rêves
En toute évidence je n’ai rien entendu
Les jours où dressée sur la haute crête
Tu me dis mon amour, s’il te plaît, arrête !
Anecdote d’une incohérence saugrenue
Simple sera mon éloge funèbre
Faite de six planches de cèdre
Ma pensée s’enfuira sous les sables
Engloutissant mon âme misérable
Difficile, alors, de lutter contre soi
Le pire ennemi rencontré restera moi.
Loïc ROUSSELOT