Avoir les pieds dans le plat et les goûts à mer ……
Les maux suspendus n’ébranlent plus le cœur
Dans cette mascarade, l’inventaire en emporte-pièce
Attend, lugubre, s’enroule le jeu expertise de menteur
Le prix de ce mobilier fait de l’huissier la prouesse
S’arroge le droit de vider d’un tour de clef la maison
Il chine les valeurs tel négociant, Ô langue avide
Qu’importe le temps, le parapluie fringue la saison
La liberté sur le ruisseau là où se perd l’eau dans le vide
Et c’est ainsi, en traite que la justice réclame son droit
Vous pauvre bougre, travailleur de longue haleine
Dans leurs habits de corbeaux ignorent le désarroi
L'humain en pâture prit dans l’engrenage de la chaîne
En va-nus pieds, ils tendent la main au bout du chapeau
Cachant la honte, les habits mités et cette aléatoire haine
Ils se saoulent de raisons et périssent sous leur drapeau
Inconnu, au seuil du dépôt d’ordures où l’info n’a l’ADN
A tous ces partisans du crime, sous couvert de l’intérieur
Ceux dont la gamelle est acquise en toute mignardise
Ne crachez pas dans la soupe du contribuable dit payeur
Le droit qui vous est donné de vivre, trois mots en devise
Loger à la bonne enseigne, des princes à Ensisheim
Seules les montagnes, océans ne sont plus des projets de balade
Même les étoiles ne brillent pour des crapules, assassins
Les barreaux sont culture d’être jalmince, seul reste la branlade
Vos queues sont soumises à un repos qui va de droit
Solliciter la sodomie pour passe temps est un bon épisode
Entre salauds qui peut l’avoir à l’arrêt, couchée sans émoi ?
J’imagine vos prises de culs à en crever l’anus diiode …..
Que vous soyez citoyen honnête ou serial killer
Vous n’êtes pas tous sous la même enseigne
Les ponts pour les uns, les autres des crèches à s’enfiler
Envoyez la monnaie vous pour qui le crime saigne.....
LILASYS
Les maux suspendus n’ébranlent plus le cœur
Dans cette mascarade, l’inventaire en emporte-pièce
Attend, lugubre, s’enroule le jeu expertise de menteur
Le prix de ce mobilier fait de l’huissier la prouesse
S’arroge le droit de vider d’un tour de clef la maison
Il chine les valeurs tel négociant, Ô langue avide
Qu’importe le temps, le parapluie fringue la saison
La liberté sur le ruisseau là où se perd l’eau dans le vide
Et c’est ainsi, en traite que la justice réclame son droit
Vous pauvre bougre, travailleur de longue haleine
Dans leurs habits de corbeaux ignorent le désarroi
L'humain en pâture prit dans l’engrenage de la chaîne
En va-nus pieds, ils tendent la main au bout du chapeau
Cachant la honte, les habits mités et cette aléatoire haine
Ils se saoulent de raisons et périssent sous leur drapeau
Inconnu, au seuil du dépôt d’ordures où l’info n’a l’ADN
A tous ces partisans du crime, sous couvert de l’intérieur
Ceux dont la gamelle est acquise en toute mignardise
Ne crachez pas dans la soupe du contribuable dit payeur
Le droit qui vous est donné de vivre, trois mots en devise
Loger à la bonne enseigne, des princes à Ensisheim
Seules les montagnes, océans ne sont plus des projets de balade
Même les étoiles ne brillent pour des crapules, assassins
Les barreaux sont culture d’être jalmince, seul reste la branlade
Vos queues sont soumises à un repos qui va de droit
Solliciter la sodomie pour passe temps est un bon épisode
Entre salauds qui peut l’avoir à l’arrêt, couchée sans émoi ?
J’imagine vos prises de culs à en crever l’anus diiode …..
Que vous soyez citoyen honnête ou serial killer
Vous n’êtes pas tous sous la même enseigne
Les ponts pour les uns, les autres des crèches à s’enfiler
Envoyez la monnaie vous pour qui le crime saigne.....
LILASYS