A ces soirs mélancoliques presque évanouis,
Accrochant dans un ciel somnolent
Le sourire ancien de ton visage,
Je ravissais au sommeil douloureux
Les rêves profonds de ma jeunesse
Qu’aucune ombre n’avait encore troublée.
Nuit après nuit, jour après jour,
Aux orphelines heures qui succombaient
Dans le soupir des soirs mystiques,
Je creusais l’ombre pour trouver la lumière,
Pour y apercevoir ton visage de jeune fille,
Ta main qui glissait sur mon front d’enfant.
A ma sœur,audrey,decedée
Accrochant dans un ciel somnolent
Le sourire ancien de ton visage,
Je ravissais au sommeil douloureux
Les rêves profonds de ma jeunesse
Qu’aucune ombre n’avait encore troublée.
Nuit après nuit, jour après jour,
Aux orphelines heures qui succombaient
Dans le soupir des soirs mystiques,
Je creusais l’ombre pour trouver la lumière,
Pour y apercevoir ton visage de jeune fille,
Ta main qui glissait sur mon front d’enfant.
A ma sœur,audrey,decedée