Au sort de l’envie.
D’après Au bord de ma vie! De Lilasys
Je me suis endormi, laissant au sort de l’envie,
Depuis fort longtemps, au crépuscule enfantin,
Plus vieux, j’me représentait de très courtes nuits,
Sans soucis, pour égrainer mon bel entrain.
Et j’ai tenté d’amuser en miel sans me taire,
Pour choyer celle qui veut du bonheur,
Dans mon coin, la jolie fleur que j’préfère,
Mais voyez-vous, j’veux encore être à l’heure.
L’envie sur tous ses plis, comme une coutume,
Comme l’anguille en sous-main pour finement l’aborder,
Etre fin et coquin de son texte que j’enfume,
De quelques films qui lui sont aujourd’hui destinés.
Les années passent et du nord au midi,
La Toulousaine, nuit et jour est toujours en pensée,
Je décompte ses peines pour mettre la joie en mes écrits,
Pour que toutes ces armoires lourdes soient à déporter.
D’après Au bord de ma vie! De Lilasys
Je me suis endormi, laissant au sort de l’envie,
Depuis fort longtemps, au crépuscule enfantin,
Plus vieux, j’me représentait de très courtes nuits,
Sans soucis, pour égrainer mon bel entrain.
Et j’ai tenté d’amuser en miel sans me taire,
Pour choyer celle qui veut du bonheur,
Dans mon coin, la jolie fleur que j’préfère,
Mais voyez-vous, j’veux encore être à l’heure.
L’envie sur tous ses plis, comme une coutume,
Comme l’anguille en sous-main pour finement l’aborder,
Etre fin et coquin de son texte que j’enfume,
De quelques films qui lui sont aujourd’hui destinés.
Les années passent et du nord au midi,
La Toulousaine, nuit et jour est toujours en pensée,
Je décompte ses peines pour mettre la joie en mes écrits,
Pour que toutes ces armoires lourdes soient à déporter.
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