Ceci est sa dernière lettre:
"Je vais vous quitter car j'ai trop de problème à régler, la vie m'a écraser, je ne peux plus le supporter. La violence causé par la présence de l'existence des autres me tuait, m'aggressait, me viviscéquait. Ajouter une frustration sexuelle qui ne risquait pas partir, et qui n'alait pas finir de me hanter, de me laisser insatisfait de tous mes faits. Oui j'avais des désirs, peut importe leur nature, ils ont été réduits en bouillit, comm de la confiture, et les autres s'en s'ont servis comme huile friture. J'avais des projets irréalisables, l'utopie m'a dévorer, chacun de mes échecs étaient là pour me le rappeler, j'étais écraser, j'en pouvais plus, je voulais juste vivre, mais mes problèmes m'en empêchaient, jai compris comment les régler, c'était de me supprimer, mes problèmes c'était moi"
"Je vais vous quitter car j'ai trop de problème à régler, la vie m'a écraser, je ne peux plus le supporter. La violence causé par la présence de l'existence des autres me tuait, m'aggressait, me viviscéquait. Ajouter une frustration sexuelle qui ne risquait pas partir, et qui n'alait pas finir de me hanter, de me laisser insatisfait de tous mes faits. Oui j'avais des désirs, peut importe leur nature, ils ont été réduits en bouillit, comm de la confiture, et les autres s'en s'ont servis comme huile friture. J'avais des projets irréalisables, l'utopie m'a dévorer, chacun de mes échecs étaient là pour me le rappeler, j'étais écraser, j'en pouvais plus, je voulais juste vivre, mais mes problèmes m'en empêchaient, jai compris comment les régler, c'était de me supprimer, mes problèmes c'était moi"