J'ai pas choisi le bon tuyau, trop étroi
même pas de fenêtres, on s'entends plus ça résonne trop
il fait froid, je manque de co2, de mots heureux
vive quand j'étais enfant, on m'avait pourtant pas tout dit
du tunnel de la vie, le temps qui avance calibré vers la fin
bien trop rond, la croix dans le dos, mon tuyau gris finira comme vous
noir carré et les rèves nous porterons loin des chagrins sans lendemain.
Chaque matin au réveil , j'espère sortir du tunnel
et voler comme une hirondelle, caresser les nuages et me faire la belle.
J'ai pas fini ma croissance, j'ai encore de l'essence,
regarder sans respirer la journée sécoulée, stopper la dérive,
je tiens encore la rive, mais le noir du soir me rattrape,
clou mon âme, mon regard.
Mes cernes du matin me rappelle n'être plus un enfant,
je dois tenir fier mon tube face à l'enclume de la vie.
Dans le cercle de mon regard mes poèmes sont troublent
et cette détresse que je paye si cher coule sur ma joue.
Le matin revient déjà, il m'emporte sur son chemin,
avancer sans marcher.
N'ai pas peur c'est le goût amère du pvc,
relève toi, les doigts serrés
porte ta peine, force toi, tiens bien droit
jusqu'à ce qu'il n'y est plus rien de bon à tirer de toi
Solo
même pas de fenêtres, on s'entends plus ça résonne trop
il fait froid, je manque de co2, de mots heureux
vive quand j'étais enfant, on m'avait pourtant pas tout dit
du tunnel de la vie, le temps qui avance calibré vers la fin
bien trop rond, la croix dans le dos, mon tuyau gris finira comme vous
noir carré et les rèves nous porterons loin des chagrins sans lendemain.
Chaque matin au réveil , j'espère sortir du tunnel
et voler comme une hirondelle, caresser les nuages et me faire la belle.
J'ai pas fini ma croissance, j'ai encore de l'essence,
regarder sans respirer la journée sécoulée, stopper la dérive,
je tiens encore la rive, mais le noir du soir me rattrape,
clou mon âme, mon regard.
Mes cernes du matin me rappelle n'être plus un enfant,
je dois tenir fier mon tube face à l'enclume de la vie.
Dans le cercle de mon regard mes poèmes sont troublent
et cette détresse que je paye si cher coule sur ma joue.
Le matin revient déjà, il m'emporte sur son chemin,
avancer sans marcher.
N'ai pas peur c'est le goût amère du pvc,
relève toi, les doigts serrés
porte ta peine, force toi, tiens bien droit
jusqu'à ce qu'il n'y est plus rien de bon à tirer de toi
Solo
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