Ces cicatrices me rappellent cette lame,
Qui, tranchant ma peau,
Laissait ces traces rougeâtres,
Ces traînés de sang.
Qui, tranchant ma peau,
Laissait ces traces rougeâtres,
Ces traînés de sang.
Amie meurtrière, un jour tu m'achèveras,
Je n'ai plus de contrôle, la tentation est si grande.
La douleur fait rage, juste cette solution,
Encore et tjrs, cette lame me délivre.
Je n'ai plus de contrôle, la tentation est si grande.
La douleur fait rage, juste cette solution,
Encore et tjrs, cette lame me délivre.
Amie meurtrière, je suis condamnée,
Tu me soulages, me délivres de mes maux,
Mais la souffrance est là, tu le sais si bien.
Alors tu m'achèveras, pour que cesse mon supplice.
Tu me soulages, me délivres de mes maux,
Mais la souffrance est là, tu le sais si bien.
Alors tu m'achèveras, pour que cesse mon supplice.
Assassine, je devrai te bannir,
Te jeter à jamais, pour passer le cape.
Ne plus être une âme, vouée à la mort,
N'être plus qu'une âme, errante en ce monde.
Te jeter à jamais, pour passer le cape.
Ne plus être une âme, vouée à la mort,
N'être plus qu'une âme, errante en ce monde.
Sourire arrogant, et rire démoniaque,
Je tranche, encore et plus fort.
Je tranche, lentement,
La douleur m'est jouissive...
Je tranche, encore et plus fort.
Je tranche, lentement,
La douleur m'est jouissive...