Bagages en main,
Espoir en tête,
Je me tourne vers trois jours que je voudrais meilleurs.
Peur, angoisse pourtant m'envahissent ...
Je respire posément : se calmer,
Retrouver cette force qui, depuis tant d'années,
M'a accompagné.
Me voilà dans mon univers,
Et pourtant seule avec ma peur.
Faire comme si,
Agir ainsi,
Pour que ces heures soient à l'image de mon espoir.
Mais c'est l'échec, ces premières 24 heures.
Je ne parviens pas à me faire comprendre
Et, comme un cri, j'entends : "Arrête ces mots inutiles et pense à l'utile !"
Alors se taire, encore et toujours,
Les mots sont parfois bien étranges
Chacun a un sens
Et n'est jamais entendu comme on l'avait dit.
Fatalisme.
Partir d'ici,
Retourner dans le mutisme
Reprendre la vie,
Comme si tout ce qui s'était bousculé en moi
Ne s'était pas produit.
Oublier dans ma concience
Enfouir ou enterrer dans mon inconcient
Tant d'efforts entrepris
Pour se retrouver 15 ans avant,
Avec les mêmes doutes, les mêmes craintes
Accepter la fatalité.
Personne ne sait où je vis,
Il n'y a que l'ombre qui me suit.
Espoir en tête,
Je me tourne vers trois jours que je voudrais meilleurs.
Peur, angoisse pourtant m'envahissent ...
Je respire posément : se calmer,
Retrouver cette force qui, depuis tant d'années,
M'a accompagné.
Me voilà dans mon univers,
Et pourtant seule avec ma peur.
Faire comme si,
Agir ainsi,
Pour que ces heures soient à l'image de mon espoir.
Mais c'est l'échec, ces premières 24 heures.
Je ne parviens pas à me faire comprendre
Et, comme un cri, j'entends : "Arrête ces mots inutiles et pense à l'utile !"
Alors se taire, encore et toujours,
Les mots sont parfois bien étranges
Chacun a un sens
Et n'est jamais entendu comme on l'avait dit.
Fatalisme.
Partir d'ici,
Retourner dans le mutisme
Reprendre la vie,
Comme si tout ce qui s'était bousculé en moi
Ne s'était pas produit.
Oublier dans ma concience
Enfouir ou enterrer dans mon inconcient
Tant d'efforts entrepris
Pour se retrouver 15 ans avant,
Avec les mêmes doutes, les mêmes craintes
Accepter la fatalité.
Personne ne sait où je vis,
Il n'y a que l'ombre qui me suit.