Il marchait dans une route en pudeur, Sans piste, sans odeur, Un chemin destiné d'un solitaire, Sans expérience, sans savoir faire. Il entend des voies, là bas, entre les bois, L’un deux prononce son vrai nom, c'est moi, Mon esprit m'appel en désespoir, Un solitaire résidant dans le noir. Un chemin long et plusieurs arrêts, Pour chacun d'eux une parole dorée, Constituants tous un magnifique ouvrage, Le solitaire alors devient un sage. La route est longue et plusieurs virages, Et le solitaire vieillit avec l'âge, Les rêves le salut en lançant des pierres, Le solitaire a renoncé à une vie entière. Une vie de méditation détachant du matériel, Tel un vent soufflant dans le ciel, Son cœur est froid, le monde est de glace, Il avance doucement, sans laisser de traces. Il rencontra alors un amour solitaire, Ainsi ses émotions tombent en guère, Une sirène belle et aussi parfumée, Le cœur froid est ainsi réanimé. Le solaire sans un vrai pouvoir, Avance en portant une volonté d'ivoire, Rester honnête toujours fidèle, À son amour unique et éternel.