Ca faisait un an (preske) que je t'aimais
Mais tu ne le savais pas c'était un secret
Je voulais que tu apprennes la vérité
Alors un jour je me suis approchée
J'ai demandé à te parler, à aller en privé
Tu as accepté et nous nous sommes éloignés
J'ai parlé pendant longtemps puis
Je t'ai avoué mes sentiments
Tu m'as écouté attentivement
Et m'a regardé gentiment
Mais tes copains sont arrivés
Et nous ont encerclés
Ils t'ont demandé ce que je voulais
Et toi, tu leur as expliqué
Ils ont rigolé sous mon nez
Et toi ça t'amusait
Tu m'as humilié comme jamais
Je me suis enfuie pour pleurer
Chez moi devant un miroir je me suis regardée
Et là j'ai réalisé
Que je ne voulais plus jamais te reparler,
Une goutte de sang est tombée
Quand tu as appris que je m'étais suicidé
Tu croyais au début qu'il plaisantait,
Puis tu as regretté de m'avoir blessé
Mais c'est ce matin qu'il fallait y penser
Tu ne croyais pas que j'allais me suicider
Parce que tu m'avais rejeté
Mais une mort sur la conscience
Est la pire des sentences.
Mais tu ne le savais pas c'était un secret
Je voulais que tu apprennes la vérité
Alors un jour je me suis approchée
J'ai demandé à te parler, à aller en privé
Tu as accepté et nous nous sommes éloignés
J'ai parlé pendant longtemps puis
Je t'ai avoué mes sentiments
Tu m'as écouté attentivement
Et m'a regardé gentiment
Mais tes copains sont arrivés
Et nous ont encerclés
Ils t'ont demandé ce que je voulais
Et toi, tu leur as expliqué
Ils ont rigolé sous mon nez
Et toi ça t'amusait
Tu m'as humilié comme jamais
Je me suis enfuie pour pleurer
Chez moi devant un miroir je me suis regardée
Et là j'ai réalisé
Que je ne voulais plus jamais te reparler,
Une goutte de sang est tombée
Quand tu as appris que je m'étais suicidé
Tu croyais au début qu'il plaisantait,
Puis tu as regretté de m'avoir blessé
Mais c'est ce matin qu'il fallait y penser
Tu ne croyais pas que j'allais me suicider
Parce que tu m'avais rejeté
Mais une mort sur la conscience
Est la pire des sentences.