D'ou vient cette âpre douleur, symptôme d'un être aimé ?,
D'ou viennent tout ces pleurs que la haine a créée ?,
Dans les noirceurs d'une ville ou bien d'un cœur blessé,
Vit une scabreuse idylle, dont la Rose fut levée.
Ô Rejeton sordide du théâtre des âmes,
Délateur des confiances où la mort se réclame,
Toi, spectateur avide des péchés d'Origines
Victoire au goût si rance de la grande ire divine.
Ô Lame sans pitié, sournoise virilité
Tu trahis l'affection de ton père humilié,
Avili d'une passion qu'on ne peut contenter
Cette passion insensée, mère de rivalité.
Ô Calice malfaisant dont la grâce a trompée,
Tu te tiens à ta mère, qui a tout engendrée,
Qui sortit d’une eau claire ou alors d’un côté,
Sous un ciel foudroyant, qui a tout fait tomber.
D'ou viennent tout ces pleurs que la haine a créée ?,
Dans les noirceurs d'une ville ou bien d'un cœur blessé,
Vit une scabreuse idylle, dont la Rose fut levée.
Ô Rejeton sordide du théâtre des âmes,
Délateur des confiances où la mort se réclame,
Toi, spectateur avide des péchés d'Origines
Victoire au goût si rance de la grande ire divine.
Ô Lame sans pitié, sournoise virilité
Tu trahis l'affection de ton père humilié,
Avili d'une passion qu'on ne peut contenter
Cette passion insensée, mère de rivalité.
Ô Calice malfaisant dont la grâce a trompée,
Tu te tiens à ta mère, qui a tout engendrée,
Qui sortit d’une eau claire ou alors d’un côté,
Sous un ciel foudroyant, qui a tout fait tomber.