Telle douce rosée en ces plaines d'été
Bienséant et si bon se posait d'attention
Le regard irrité de vos yeux d'éthéré
Admirant le souillon délaissé de Sion
Face à moi vous étiez renégat bienaimé
Condamnant sans façons ces passions à foison
Ne trouvant que vraiment pauvre enfant qui n’entend
Quand alors observiez l’esseulé désolé
Affolé médisant l’orifice innocent
C’est ainsi désormais que ton œil m’a laissé
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Carnet Défait I
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