Ainsi vont mes non-vœux pour 2023
(version alexandrins)
Heureux le temps venu, pour deux mille vingt trois,
De faire mes non-vœux et autres balivernes,
Mots qui sonnent sans fond au bon plaisir des rois,
Que je n’ose apporter à vos espoirs si ternes,
Laissez moi vous conter, il était une fois,
Trois petits souhaits sages et sans promesses,
Le premier fut d’amour, perdu au fond des bois,
Quand rodent les loups bruns autour des grandes messes,
Le second voit l’argent, à mon grand désarroi,
Fortune et gloire font, qui gouvernent le monde,
Je n’offrirai donc pas ce doux vœux maladroit,
A ce pauvre d’esprit sur l’empire qu’il fonde,
Le dernier était « santé » qui à mon triste effroi,
Ne peux ce formuler, l’enjeu est climatique,
Mais nous devons pourtant luter contre le froid,
Dans nos yeux, dans nos cœurs, lueur télématique,
Et mes non-vœux irons de Bayonne à Détroit,
De Paris à Pékin, passerons les frontières,
Des pays séparaient par un simple détroit,
Par des guerres détruits aux ruines côtières,
Ainsi vont mes non-vœux pour deux mille vingt trois,
A tous les ciels d’été où l’orage foudroie,
Pour les peuples soumis privés de leurs bons droits,
Et sur tous les chemins où la neige poudroie,
Ainsi vont mes non-vœux pour deux mille vingt trois,
A mes amis chats noirs sans un signe de croix,
(version alexandrins)
Heureux le temps venu, pour deux mille vingt trois,
De faire mes non-vœux et autres balivernes,
Mots qui sonnent sans fond au bon plaisir des rois,
Que je n’ose apporter à vos espoirs si ternes,
Laissez moi vous conter, il était une fois,
Trois petits souhaits sages et sans promesses,
Le premier fut d’amour, perdu au fond des bois,
Quand rodent les loups bruns autour des grandes messes,
Le second voit l’argent, à mon grand désarroi,
Fortune et gloire font, qui gouvernent le monde,
Je n’offrirai donc pas ce doux vœux maladroit,
A ce pauvre d’esprit sur l’empire qu’il fonde,
Le dernier était « santé » qui à mon triste effroi,
Ne peux ce formuler, l’enjeu est climatique,
Mais nous devons pourtant luter contre le froid,
Dans nos yeux, dans nos cœurs, lueur télématique,
Et mes non-vœux irons de Bayonne à Détroit,
De Paris à Pékin, passerons les frontières,
Des pays séparaient par un simple détroit,
Par des guerres détruits aux ruines côtières,
Ainsi vont mes non-vœux pour deux mille vingt trois,
A tous les ciels d’été où l’orage foudroie,
Pour les peuples soumis privés de leurs bons droits,
Et sur tous les chemins où la neige poudroie,
Ainsi vont mes non-vœux pour deux mille vingt trois,
A mes amis chats noirs sans un signe de croix,
Dernière édition: