Grimpes, naïveté, jusqu’aux cimes enneigées,
Sur cette montage sacrée, là où règne liberté,
Elle ne plie ni ne rond.
Face aux charognes pleine d’idées putrides,
Voler à tire-d'aile
Vers toutes les étincelles
Du haut de nos âmes indélébiles.
Veille aigle, joues toi de l’aire
Du haut du pic centenaire
Enneiges, blanchis les trésors éternels.
En toi, j’entends les pensées inquiètes
Jamais la caresse n’est muette,
Vite, vite, comme l’alouette,
Montes vers les cieux.
Et maintenant, du haut de ton toi,
Des baisers, flocons posés sur les toits.
Du Grand Nous, un ciel enflammé,
Une horizon de joie, parmi la brume,
Vous vous voyez flotter
Courir et aimer
Dans cette galaxie infiniment colorée
Sur cette montage sacrée, là où règne liberté,
Elle ne plie ni ne rond.
Face aux charognes pleine d’idées putrides,
Voler à tire-d'aile
Vers toutes les étincelles
Du haut de nos âmes indélébiles.
Veille aigle, joues toi de l’aire
Du haut du pic centenaire
Enneiges, blanchis les trésors éternels.
En toi, j’entends les pensées inquiètes
Jamais la caresse n’est muette,
Vite, vite, comme l’alouette,
Montes vers les cieux.
Et maintenant, du haut de ton toi,
Des baisers, flocons posés sur les toits.
Du Grand Nous, un ciel enflammé,
Une horizon de joie, parmi la brume,
Vous vous voyez flotter
Courir et aimer
Dans cette galaxie infiniment colorée