À mesure que le temps passait
Bégayaient mes mots insensés
Capharnaüm en cafard moi homme
Duodénum à comment je me prénomme ?
Encore présent, pourtant souvent absent désormais
Force est de constater que faiblir m'était destiné
Grabataire face au futur venant pas si simple
Hurlant dans mon nouveau labyrinthe périple
Ignare après avoir tant conjugué mon quotidien
Je découvrais avec peine ce que je connaissais si bien
Kidnappant dans mon cahier mes propres souvenirs
Le lorgnant de temps à autre pour me (ré)instruire
Malmené par mes migraines et perdu dans mes allées
Niant les moments d'égarement à ne savoir où aller
Obligé de feinter des proches de moins en moins crédules
Pétrifié à l'idée d'admirer l'aurore pour un crépuscule
Qu'adviendrait-il de mon trottoir, de ma rue, de ma ville
Ramassis de béton, de voie sans issue, mon futur asile
Sénile si jeune et bientôt capable d'énurésie
Trahi par ce monde érudit m'adjugeant coupable d'hérésie
Usant ma salive pour d'incompréhensibles errements
Véhément d'absurdités constantes m'excusant rarement
White spirit dans mon cerveau, je fixa le crépuscule pour aurore
X pour signature comme épitaphe pour qui me remémore
Yeux fermés devant mes proches lointains désormais
Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Bégayaient mes mots insensés
Capharnaüm en cafard moi homme
Duodénum à comment je me prénomme ?
Encore présent, pourtant souvent absent désormais
Force est de constater que faiblir m'était destiné
Grabataire face au futur venant pas si simple
Hurlant dans mon nouveau labyrinthe périple
Ignare après avoir tant conjugué mon quotidien
Je découvrais avec peine ce que je connaissais si bien
Kidnappant dans mon cahier mes propres souvenirs
Le lorgnant de temps à autre pour me (ré)instruire
Malmené par mes migraines et perdu dans mes allées
Niant les moments d'égarement à ne savoir où aller
Obligé de feinter des proches de moins en moins crédules
Pétrifié à l'idée d'admirer l'aurore pour un crépuscule
Qu'adviendrait-il de mon trottoir, de ma rue, de ma ville
Ramassis de béton, de voie sans issue, mon futur asile
Sénile si jeune et bientôt capable d'énurésie
Trahi par ce monde érudit m'adjugeant coupable d'hérésie
Usant ma salive pour d'incompréhensibles errements
Véhément d'absurdités constantes m'excusant rarement
White spirit dans mon cerveau, je fixa le crépuscule pour aurore
X pour signature comme épitaphe pour qui me remémore
Yeux fermés devant mes proches lointains désormais
Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Piloukan (08/02/2016)
Pièces jointes
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