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A toi, mon bel Amour !

natura

Nouveau poète
#1
T'en souviens-tu ?
On se disait pas encore tu ...
En ce jour de 14 juillet,
Tu m'as donné la main, en ce beau jour d'été.
Sur le net, ta photo m'a subjuguée,
Le regard de tes grands yeux profonds,
Ont enflammé mon coeur avec passion.
Autour de ce monde virtuel,
Je t'ai trouvé belle et sensuelle,
Nous avons châté plus que de raison.
Dés que je t'apercevais sur l'écran,
Mon coeur battait à tout vent.
Tellement, je te trouvais inaccessible.
C'est vrai que quelquefois,
Tes réactions sont imprévisibles,
Au début, on s'aimait à distance,
En se foutant des convenances...
Je ne trouve pas les mots,
Pour vous dire qu'elle a tout ce qu'il faut...
Timide avec ses yeux bleufants,
Pourtant femme, avec son regard d'enfant,
Elle m'inspire que de la tendresse,
Son corps que je devine sensuel,
Mériterait qu'avec subtilité, on le caresse.
A grand coup de clic, et de grandes sensations,
On s'est aimé à perdre la raison,
C'est ainsi que l'on s'est trouvé toutes les deux,
Sur ce grand quai de la gare Saint-Lazare,
On s'est embrassé dans un élan fougueux.
Tes cheveux longs voguaient au vent du hasard.
Des millions et des milliers d'années,
Ne sauraient suffire,
Pour simplement te dire,
Combien j'ai apprécié,
Ce premier baiser que l'on s'est donné,
Il avait le goût de l'aventure.
Ta voix suave qui me susurre,
Des mots tendres rien qu'à nous,
Résonnent dans ta bouche,
Et quand je suis dans ta couche,
Ils se fondent en de suprêmes déclarations.
Toi, pa petite fleur d'amour !
Tu me fais fondre d'admiration,
Avec ton corps sculpté, façon Deville Chabrole,
Comme ces statues à l'honneur,
Dans les galeries d'art d'Honfleur,
Avec leurs formes et leurs rondeurs,
Comme les tiennes, mon bel amour,
Tu es ma beauté sublime, mon idôle.
Tu as le corps parfait que je n'ai pas...
Je n'ai que mes grands yeux bleus,
Pour te séduire à mon grand désarroi.
Si j'étais un artiste peintre fabuleux,
De toi, je ferais un superbe nu,
Avec ta bouche rieuse et tes mains menues,
Avec ton allure cambrée,
Tes fesses bien galbées,
Toutes rondes comme des moitiés de pommes,
Que je croquerais à pleines dents,
Que le Bon Dieu me le pardonne !
Si mon désir pour toi, est si grand...
J'aime tellement ma meuf,
Quand elle joue femme libérée,
C'est comme cela qu'elle me bleuffe,
"Que serais-je sans toi ?"
Qui s'endors près de moi,
Sentir ton souffle si doux,
Au creux de mon cou,
Lorsque je m'éveille au petit matin,
Me fait craquer avec ses yeux coquins,
Quand langoureux, ils se plongent dans les miens.
Avec toi, la vie a du mordant,
Ma passion est de tous les instants.
Tu seras l'hirondelle de tous mes printemps,
Mon amour ne ressemble à celui de personne,
Quand nos deux corps s'abandonnent.
Notre histoire es souvent montrée du doigt,
Mais qu'importe, puisque j'ai foi en toi.
Je t'aime et je t'aimerais,
Si tu veux bien, toujours près de toi, me garder...