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A mon frère ( adieu)

lilasys

Maître Poète
#1
A mon frère

Il y a ces matins lourds de rêveries
Ces débuts de journée où tout est transparence
Au fond des yeux s'éclaire ce qui donne vie
Pour bien des malheurs que ne signe la chance


Il y a ces soleils qui ne réchauffent les os
Ceux qui crient de douleurs à chaque mouvement
Au clair d'un grand lac jusqu'au petit ruisseau
Se lavent les peines et tous les tourments


Il y a ces chants joyeux qui sonnent au printemps
Ceux qui poussent çà et là sur un parterre de fleurs
La nature revient à la vie comme le font nos cœurs
L'hiver s'endort, enfin tous le monde est impatient


Impatient de vivre , de mourir mais encore
De trier ce courrier entre toutes les nouvelles
Serré entre les doigts ce que fait la mort
Il est parti ce jour en battements d'ailes ...


LILASYS...

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Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
A mon frère

Il y a ces matins lourds de rêveries
Ces débuts de journée où tout est transparence
Au fond des yeux s'éclaire ce qui donne vie
Pour bien des malheurs que signe la chance


Il y a ces soleils qui ne réchauffent les os
Ceux qui crient de douleurs à chaque mouvement
Au clair d'un grand lac jusqu'au petit ruisseau
Se lavent les peines et tous les tourments


Il y a ces chants joyeux qui sonnent au printemps
Ceux qui poussent çà et là sur un parterre de fleurs
La nature revient à la vie comme le font nos cœurs
L'hiver s'endort, enfin tous le monde est impatient


Impatient de vivre , de mourir mais encore
De trier ce courrier entre toutes les nouvelles
Serré entre les doigts ce que fait la mort
Il est parti ce jour en battements d'ailes ...


LILASYS...


A ma sœur pour enlever la mélancolie.

Il y a des après-midi sourds de railleries,
Mais mon but ce jour mal né où je te veux en excellence,
Le rond du vieux si clair, pardonne mon envie,
Pour un rien de bonheur que consigne ma bienveillance.


Il y a une merveille qui m’échauffe les mots,
Celle qui écrit ses épreuves en ce grave moment,
Eclaire mon grand sac à malice d’un petit sursaut,
Et délave ma veine mélancoliquement.


Elle a des airs soyeux qui résonnent en tout temps,
Ceux qui nous poussent par là sur une planche de peurs,
Sa droiture devient mon envie comme un son de ma sœur,
L'hier plus fort n’est pas la fin de la ronde pourtant.


Impatient de te voir rire, de courir plus encore,

De prier pour des sourires de bonnes nouvelles,
Insérées entre les fois qui nous rendent plus fort,
Elle sont réparties en ce jour en mi-temps d'elle.


Avec mon soutien………………….