Mes dix-sept ans, je m’en souviens encore,
La fin de l’enfance
Comme l’automne qui commence.
On fait déjà sa grande,
Mais le vertige nous prends lorsque l’on se retrouve
Comme perdue dans un grand océan.
dix-sept ans,
c’est l’age des premiers vrais amours,
les premières fois, les premières peurs,
les « je t’aime » avoués mais juste pour un été.
A dix-sept ans, on a toujours un peu peur de grandir
Alors, on se cache derrière une carapace.
On s’enferme pour pleurer,
On se montre pour exister.
Mais dix-sept ans, c’est bientôt fini
Adieu année de l’insouciance,
Dans quelques temps, on sera grand
Mais cela pour combien de temps ?
La fin de l’enfance
Comme l’automne qui commence.
On fait déjà sa grande,
Mais le vertige nous prends lorsque l’on se retrouve
Comme perdue dans un grand océan.
dix-sept ans,
c’est l’age des premiers vrais amours,
les premières fois, les premières peurs,
les « je t’aime » avoués mais juste pour un été.
A dix-sept ans, on a toujours un peu peur de grandir
Alors, on se cache derrière une carapace.
On s’enferme pour pleurer,
On se montre pour exister.
Mais dix-sept ans, c’est bientôt fini
Adieu année de l’insouciance,
Dans quelques temps, on sera grand
Mais cela pour combien de temps ?