Un coeur blessé à couteaux tirés
La chevelure en bataille ,ensanglantée
Un cœur ouvert blessé, recroquevillé
Muet pendant des heures entières
Dans un coin délabré d'un monastère
Violé par une folle folie meurtrière.
Lui, qui se sentait protégé, guilleret
Pour une retraite° espérée et partagée
Un cœur traumatisé, lapidé par son passé
Braillant, hurlant, qu'avait -il donc fait
Ce cœur qui renaissait dans la complicité
Il voulait d'un vent d 'étoiles , de contrées
De prés verts , d ' émois de soleil, il rêvait
D ' îles chaleureuses aux souffles d'alizé
Il rêvait, il a trouvé l'éclair qui fracasse
D'aigres grimaces ,la peur des frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang
Naufragé pouvait-il lutter vraiment ?
L'hémorragie l'a tué, endeuillée par le destin figé
Recueille en marge de ma Poésie un legs "miroir"
Sur le cahier de mes nuits noires ,des lignes d'espoir
A tes soucis dirimant ravageurs, et pour te pacifier
A la gloire de tes jours , sur un sol d'une chair lénifiée
Que ton crépuscule te mène vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de la flamme et ses rayons couchant
Fasse que leur mystère ancestral tu retouches le firmament.
°retraite ici week -end
Ps
Une scène épouvantable vécue chez un ami ,
où j'étais en week-end en 2011
son ex en furie,
et son grabuge ' meurtrier
le mot est léger!
bonjour le traumatisme
La chevelure en bataille ,ensanglantée
Un cœur ouvert blessé, recroquevillé
Muet pendant des heures entières
Dans un coin délabré d'un monastère
Violé par une folle folie meurtrière.
Lui, qui se sentait protégé, guilleret
Pour une retraite° espérée et partagée
Un cœur traumatisé, lapidé par son passé
Braillant, hurlant, qu'avait -il donc fait
Ce cœur qui renaissait dans la complicité
Il voulait d'un vent d 'étoiles , de contrées
De prés verts , d ' émois de soleil, il rêvait
D ' îles chaleureuses aux souffles d'alizé
Il rêvait, il a trouvé l'éclair qui fracasse
D'aigres grimaces ,la peur des frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang
Naufragé pouvait-il lutter vraiment ?
L'hémorragie l'a tué, endeuillée par le destin figé
Recueille en marge de ma Poésie un legs "miroir"
Sur le cahier de mes nuits noires ,des lignes d'espoir
A tes soucis dirimant ravageurs, et pour te pacifier
A la gloire de tes jours , sur un sol d'une chair lénifiée
Que ton crépuscule te mène vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de la flamme et ses rayons couchant
Fasse que leur mystère ancestral tu retouches le firmament.
°retraite ici week -end
Ps
Une scène épouvantable vécue chez un ami ,
où j'étais en week-end en 2011
son ex en furie,
et son grabuge ' meurtrier
le mot est léger!
bonjour le traumatisme