Il se trouve là, perdu dans ce trouble inconnu,
Rien ne lui paraît plus profond que l'abîme d'un silence.
J'écris avec le sang de ma peur les maux du coeur,
Je t'attends, moi sans toi, assise sur les rives de l'illusion.
Le sentier de mes veines retrace l'histoire d'un monde secret,
J'avance dans l'ombre de ce tunnel sans paroles.
Un jour, j'ai cru apercevoir le reflet d'un mot sur le flot de mes pensées :
La Raison qui aveugle se ternit aux premiers rayons de l'irrationnel.
Au croisement de ton regard, les fenêtres de ton âme se sont voilées par un rideau de fer :
Le soleil est là, accroché aux chaînes de la vie, mais une tempête de neige sévit dans ton esprit !
Je suis parfois sourde aux éclats de voix et aux colères, qui me sont prêtées, seulement, la vérité n'empêche pas la douleur :
Tu m'as devinée avec tes yeux d'enfant
Et j'ai brisé le cristal de ton innocence !
A corps perdu, je rassemble mes armes pour sonder ce qui n'est plus,
La passion aiguise le tranchant de la tentation pour que les émotions saignent.
Rien ne lui paraît plus profond que l'abîme d'un silence.
J'écris avec le sang de ma peur les maux du coeur,
Je t'attends, moi sans toi, assise sur les rives de l'illusion.
Le sentier de mes veines retrace l'histoire d'un monde secret,
J'avance dans l'ombre de ce tunnel sans paroles.
Un jour, j'ai cru apercevoir le reflet d'un mot sur le flot de mes pensées :
La Raison qui aveugle se ternit aux premiers rayons de l'irrationnel.
Au croisement de ton regard, les fenêtres de ton âme se sont voilées par un rideau de fer :
Le soleil est là, accroché aux chaînes de la vie, mais une tempête de neige sévit dans ton esprit !
Je suis parfois sourde aux éclats de voix et aux colères, qui me sont prêtées, seulement, la vérité n'empêche pas la douleur :
Tu m'as devinée avec tes yeux d'enfant
Et j'ai brisé le cristal de ton innocence !
A corps perdu, je rassemble mes armes pour sonder ce qui n'est plus,
La passion aiguise le tranchant de la tentation pour que les émotions saignent.