Depuis quelques minutes je songe encore à ta grandeur,
Que mes yeux se ferment sur cette réalité !
Tu rejoints déjà mon rêve qui retrouve son ardeur,
M’obsède comme je n’ai eu de cesse toute la journée.
Totalement nue, à quatre pattes, genoux pliés,
Je m’offre, fessier bombé vers ta godille assurée,
Ne me fais plus attendre une minute de plus,
Fais moi l’amour, malmènes mon corps assidu.
Que t’écrire mon désir ne suffise pas,
Mon aimé, tout cela je le sais déjà,
Amour de mes fantasmes, je ne te demande pas la lune,
A travers mes dessous j’accède à une envie commune.
Les coudes fermement positionnés sur les draps,
Rimes les susurres de mes suffocations divines,
Et d’un mouvement sec, ton engin m’empalera,
Acrostiches de l’amour, tu en es l’inspiration clandestine.
Que mes yeux se ferment sur cette réalité !
Tu rejoints déjà mon rêve qui retrouve son ardeur,
M’obsède comme je n’ai eu de cesse toute la journée.
Totalement nue, à quatre pattes, genoux pliés,
Je m’offre, fessier bombé vers ta godille assurée,
Ne me fais plus attendre une minute de plus,
Fais moi l’amour, malmènes mon corps assidu.
Que t’écrire mon désir ne suffise pas,
Mon aimé, tout cela je le sais déjà,
Amour de mes fantasmes, je ne te demande pas la lune,
A travers mes dessous j’accède à une envie commune.
Les coudes fermement positionnés sur les draps,
Rimes les susurres de mes suffocations divines,
Et d’un mouvement sec, ton engin m’empalera,
Acrostiches de l’amour, tu en es l’inspiration clandestine.