16425 jours
Aux ailes de vos yeux, le temps a dessiné,
Sur le fil de vos jours, un regard, un sourire
Et vos sillons d’amour, le meilleur et le pire,
Ensemble partagés au fil de vos années.
Ces premières heures où le tyran s’emballe,
Ce cœur qui vous enchaine à l’autre sans faillir
Qui galope et qui rue, qui ne veut pas faiblir
Qui vous dit celui la, vous laisse rouge ou pâle.
Ces premiers rendez-vous, qu’on grave dans sa tête
Ces longues discussions sur un rythme effréné,
Et quand cède le doute et qu’on vient à rêver
D’un jour particulier sur un bel air de fête.
Aux ailes de vos yeux, le temps a soupiré
Des mots tendresse, le refrain d’une chanson,
Et vos secrets amours, des joies et des frissons,
Ensemble partagés au fil de vos années
La première terrible à chercher votre place,
A passer des fantasmes à la réalité.
Et toutes ces autres à construire un foyer,
Solide comme le roc, quelque soit la menace.
Et sans s’en rendre compte ou peut être si peu
On passe de l’étain aux lisses porcelaines,
Et l’on garde les joies et l’on oublie les peines,
On laisse les enfants pour ne rester qu’à deux.
Aux ailes de vos yeux, voila qu’il continue,
Le temps à défiler et vous lui ressemblez.
Comme deux courants d’air qu’on ne peut attraper.
Pas assez d’une vie pour encore s’aimer...
Aux ailes de vos yeux, le temps a dessiné,
Sur le fil de vos jours, un regard, un sourire
Et vos sillons d’amour, le meilleur et le pire,
Ensemble partagés au fil de vos années.
Ces premières heures où le tyran s’emballe,
Ce cœur qui vous enchaine à l’autre sans faillir
Qui galope et qui rue, qui ne veut pas faiblir
Qui vous dit celui la, vous laisse rouge ou pâle.
Ces premiers rendez-vous, qu’on grave dans sa tête
Ces longues discussions sur un rythme effréné,
Et quand cède le doute et qu’on vient à rêver
D’un jour particulier sur un bel air de fête.
Aux ailes de vos yeux, le temps a soupiré
Des mots tendresse, le refrain d’une chanson,
Et vos secrets amours, des joies et des frissons,
Ensemble partagés au fil de vos années
La première terrible à chercher votre place,
A passer des fantasmes à la réalité.
Et toutes ces autres à construire un foyer,
Solide comme le roc, quelque soit la menace.
Et sans s’en rendre compte ou peut être si peu
On passe de l’étain aux lisses porcelaines,
Et l’on garde les joies et l’on oublie les peines,
On laisse les enfants pour ne rester qu’à deux.
Aux ailes de vos yeux, voila qu’il continue,
Le temps à défiler et vous lui ressemblez.
Comme deux courants d’air qu’on ne peut attraper.
Pas assez d’une vie pour encore s’aimer...