Cela fait deux ans déjà
Que ta maladie nous a séparés.
Mes bras auraient voulu t’enlacer
Une toute dernière fois.
Il ne se passe pas un jour
Sans que je ne pense à toi
Tu étais comme une fille pour moi
Et tu auras toujours mon amour.
Je me sens misérable,
Je me sens lamentable
De n’avoir pas pu t’aider
Face à cette monstruosité.
Tu te savais condamnée
Mais malgré cela tu souriais.
Tu as toujours été courageuse
Et loin d’être une pleurnicheuse.
Sache que papa pense à toi,
Qu’il sait que tu veilles sur lui.
Qu’il sait que tu seras toujours là
Même si ses larmes coulent comme la pluie.
PS: je précise que c'est la première fois que je trouve enfin le courage d'écrire quelque chose pour elle. Ce n'était pas ma vraie fille mais on avait une relation très fusionnelle et elle me considérait comme son père vu que le sien l'avait rejeté. Et encore maintenant en l'écrivant les larmes me viennent.
Que ta maladie nous a séparés.
Mes bras auraient voulu t’enlacer
Une toute dernière fois.
Il ne se passe pas un jour
Sans que je ne pense à toi
Tu étais comme une fille pour moi
Et tu auras toujours mon amour.
Je me sens misérable,
Je me sens lamentable
De n’avoir pas pu t’aider
Face à cette monstruosité.
Tu te savais condamnée
Mais malgré cela tu souriais.
Tu as toujours été courageuse
Et loin d’être une pleurnicheuse.
Sache que papa pense à toi,
Qu’il sait que tu veilles sur lui.
Qu’il sait que tu seras toujours là
Même si ses larmes coulent comme la pluie.
PS: je précise que c'est la première fois que je trouve enfin le courage d'écrire quelque chose pour elle. Ce n'était pas ma vraie fille mais on avait une relation très fusionnelle et elle me considérait comme son père vu que le sien l'avait rejeté. Et encore maintenant en l'écrivant les larmes me viennent.