Ô douceur,
Je t’ai vu aux ailes des tentatives désarmées, aux plumes de l’ébauche d’un baiser et aux murmures des confidences désavouées. Volupté arrondie aux angles vivants, tu seras délicieuse et silencieuse : un nuage de lait sur le thé d’oreiller, une caresse de pudeur qui n’a rien à cacher.
Un soir au creux de l’aveu tu m’inviteras à m’égarer, à plonger aux abysses d’une rencontre improvisée. J’aurais alors le seul souhait de charmer ton palais par mes coursives dévouées. Tu ne seras jamais écrasante mais robuste ! Ton puissant buste balaiera ceux qui frustrent. Tu épouseras, alors la jouissance de ma secrète cantine et ta quintessence érigera les abîmes.
Déposée par des lèvres gourmandes et moelleuses, tu sauras me rendre fiévreuse. Pantin de ta générosité je m’articulerai à ce que tu oseras donner : affluence de gestes offerts même les yeux fermés. Tu retiendras mon souffle m’apprenant à renaître au toucher.
Douceur, ma belle, toi qui patines de tendresse le clair matin, viendras-tu flâner sur mes chemins ?
Par pitié je t’en supplie, joue de nos traîtresses harmonies et livre-nous en symphonie !
Ô toi jumelle d’une ardeur sentinelle, tu chuchoteras je le sais, que le corps est parfait !
Madame Maud
Je t’ai vu aux ailes des tentatives désarmées, aux plumes de l’ébauche d’un baiser et aux murmures des confidences désavouées. Volupté arrondie aux angles vivants, tu seras délicieuse et silencieuse : un nuage de lait sur le thé d’oreiller, une caresse de pudeur qui n’a rien à cacher.
Un soir au creux de l’aveu tu m’inviteras à m’égarer, à plonger aux abysses d’une rencontre improvisée. J’aurais alors le seul souhait de charmer ton palais par mes coursives dévouées. Tu ne seras jamais écrasante mais robuste ! Ton puissant buste balaiera ceux qui frustrent. Tu épouseras, alors la jouissance de ma secrète cantine et ta quintessence érigera les abîmes.
Déposée par des lèvres gourmandes et moelleuses, tu sauras me rendre fiévreuse. Pantin de ta générosité je m’articulerai à ce que tu oseras donner : affluence de gestes offerts même les yeux fermés. Tu retiendras mon souffle m’apprenant à renaître au toucher.
Douceur, ma belle, toi qui patines de tendresse le clair matin, viendras-tu flâner sur mes chemins ?
Par pitié je t’en supplie, joue de nos traîtresses harmonies et livre-nous en symphonie !
Ô toi jumelle d’une ardeur sentinelle, tu chuchoteras je le sais, que le corps est parfait !
Madame Maud