Étincelle ...
Une brève lueur déchire en notre sein
Quand un enfant paraît, tel matin d'un printemps
L'insolente nature orne un coin de jardin
Où, seule fleur sauvage, habille un sentiment
Auprès de la chandelle où, recueilli, je prie
Remercier du cadeau qu'un Dieu nous ait offert
Nous lisons dans ces yeux la beauté de la vie
Par ce ruban de fraise où l'on forme ses vers
Sans honte un grand éclat infiltre le regard
De ce vieux messager, ancien signe des cieux
De l'âme, la raison se moque de cet art
Les braises aux genoux dans l'âtre des aïeuls
Avez-vous vu cet astre, une admirable étoile
Escarbille poudrée en mystérieux rayon
Le parme de l'iris qui souvent nous dévoile
Les dessous des cartes d'un ombrageux sillon
Les pierres des bijoux grévent la seigneurie
Dont l'imposante image accuse un trait de soi
Le germe fait brandon car dans cette écurie
Rien n'égale l'ardeur d'un étalon de roi ....
LILASYS...
Une brève lueur déchire en notre sein
Quand un enfant paraît, tel matin d'un printemps
L'insolente nature orne un coin de jardin
Où, seule fleur sauvage, habille un sentiment
Auprès de la chandelle où, recueilli, je prie
Remercier du cadeau qu'un Dieu nous ait offert
Nous lisons dans ces yeux la beauté de la vie
Par ce ruban de fraise où l'on forme ses vers
Sans honte un grand éclat infiltre le regard
De ce vieux messager, ancien signe des cieux
De l'âme, la raison se moque de cet art
Les braises aux genoux dans l'âtre des aïeuls
Avez-vous vu cet astre, une admirable étoile
Escarbille poudrée en mystérieux rayon
Le parme de l'iris qui souvent nous dévoile
Les dessous des cartes d'un ombrageux sillon
Les pierres des bijoux grévent la seigneurie
Dont l'imposante image accuse un trait de soi
Le germe fait brandon car dans cette écurie
Rien n'égale l'ardeur d'un étalon de roi ....
LILASYS...