Pour les chagrins l’amour accourt
Cet écrit terne profané
D’un coup de plume il est acté
Pour par la suite et sans détour
Se transformer en un poignard
Donnant le goût du désespoir.
Tout englober ? Quelle injustice !
Certains amants savent conter
D’un geste doux et assuré
L’inclination sans artifice
D’une romance qui accorde
Deux violonistes par leurs cordes.
Que ouïs-je alors, un unisson ?
Un agrégat d’ordre rythmique ?
Est-ce cela l’hymne archaïque ?
D’une émotion d’adoration
Qui dans la nuit darde lumière
Ne recherchant qu’à se complaire.
Mais cet attrait de vie humaine
Est composé de deux substances
Cette inhérente ambivalence
Dont sa complainte accroît les peines
Et fait du rut sa sépulture
Puisqu’il ne peut fuir sa nature.
Qu’il est aisé d’influencer
Nos attributs si contrôlables
Qui pour autrui sont insondables
Afin d’oser y soutirer
D’un libéral sa gentillesse
L'appel futur de sa détresse.
Comment pourrai-je avoir confiance
En ces passions devenant lames
Ces archétypes si infâmes
Fertile sol de la méfiance
Par la candeur de mon esprit
Propice engrais de tragédie.
La félonie puise mes gouttes
Pour l'entretien de son dessein
En se grimant en air divin
Pour tendrement calmer mes doutes
Et accomplir son projet sombre
Laissant ma foi dans les décombres.
Ce ressenti est un extrait
De ce venin sans antidote
Prescrit sans fin par ce pilote
Pour qu'il exauce ses méfaits
Me transformant en automate
Pour obtenir ce qu'il convoite.
Être sensible actuellement
Peut être un point causant faiblesse
Saignant notre âme avec hardiesse
En réduisant nos sentiments
En jeu funeste de traîtrise
Quand l'abandon se concrétise.
D’où est extrait mon insouciance
Ce naïf tort de mes ébats ?
Tout simplement de mes émois
Symbolisant mon attirance
Pour cette source meurtrière
Ambitionnant de me soustraire.
Un crime adroit sur ce relent
De ma gaieté s'en suit les plaies
Moi qui pensait que s’entrouvrait
Un avenir affriandant
A tes côtés petite étoile
Mais ta noirceur a pris les voiles.
Tu incendies ma fluidité
En y forgeant ta corruption
Qui agonie mes sensations
A ton égard, tant éprouvées
Ce qui conclue la destruction
De ce serment sans dévotion.
Oiseau Lyre.
Cet écrit terne profané
D’un coup de plume il est acté
Pour par la suite et sans détour
Se transformer en un poignard
Donnant le goût du désespoir.
Tout englober ? Quelle injustice !
Certains amants savent conter
D’un geste doux et assuré
L’inclination sans artifice
D’une romance qui accorde
Deux violonistes par leurs cordes.
Que ouïs-je alors, un unisson ?
Un agrégat d’ordre rythmique ?
Est-ce cela l’hymne archaïque ?
D’une émotion d’adoration
Qui dans la nuit darde lumière
Ne recherchant qu’à se complaire.
Mais cet attrait de vie humaine
Est composé de deux substances
Cette inhérente ambivalence
Dont sa complainte accroît les peines
Et fait du rut sa sépulture
Puisqu’il ne peut fuir sa nature.
Qu’il est aisé d’influencer
Nos attributs si contrôlables
Qui pour autrui sont insondables
Afin d’oser y soutirer
D’un libéral sa gentillesse
L'appel futur de sa détresse.
Comment pourrai-je avoir confiance
En ces passions devenant lames
Ces archétypes si infâmes
Fertile sol de la méfiance
Par la candeur de mon esprit
Propice engrais de tragédie.
La félonie puise mes gouttes
Pour l'entretien de son dessein
En se grimant en air divin
Pour tendrement calmer mes doutes
Et accomplir son projet sombre
Laissant ma foi dans les décombres.
Ce ressenti est un extrait
De ce venin sans antidote
Prescrit sans fin par ce pilote
Pour qu'il exauce ses méfaits
Me transformant en automate
Pour obtenir ce qu'il convoite.
Être sensible actuellement
Peut être un point causant faiblesse
Saignant notre âme avec hardiesse
En réduisant nos sentiments
En jeu funeste de traîtrise
Quand l'abandon se concrétise.
D’où est extrait mon insouciance
Ce naïf tort de mes ébats ?
Tout simplement de mes émois
Symbolisant mon attirance
Pour cette source meurtrière
Ambitionnant de me soustraire.
Un crime adroit sur ce relent
De ma gaieté s'en suit les plaies
Moi qui pensait que s’entrouvrait
Un avenir affriandant
A tes côtés petite étoile
Mais ta noirceur a pris les voiles.
Tu incendies ma fluidité
En y forgeant ta corruption
Qui agonie mes sensations
A ton égard, tant éprouvées
Ce qui conclue la destruction
De ce serment sans dévotion.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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