Elle ne marche plus, le long des nuits sans lune
Les sens exacerbés par la chaleur de l’air,
Le regard aux aguets, craignant l’ombre importune
Qui viendrait déranger son étrange univers
Elle ne marche plus ; les images en tête
Ont depuis occulté le monde en mouvement,
Un monde devenu nul et inconsistant,
Qui ne mérite plus que quiconque s’arrête
Elle ne marche plus, mais la route fut douce
Permettant des folies, défiant le destin
Jouant son concerto à mille et une mains
Avant que ses envies tristement ne s’émoussent
Elle ne marche plus, l’horizon se profile
Il ne lui reste rien qui vaille le détour
Dans sa tête, sans fin, les images défilent….
Sa dernière épopée, voyage sans retour…
Les sens exacerbés par la chaleur de l’air,
Le regard aux aguets, craignant l’ombre importune
Qui viendrait déranger son étrange univers
Elle ne marche plus ; les images en tête
Ont depuis occulté le monde en mouvement,
Un monde devenu nul et inconsistant,
Qui ne mérite plus que quiconque s’arrête
Elle ne marche plus, mais la route fut douce
Permettant des folies, défiant le destin
Jouant son concerto à mille et une mains
Avant que ses envies tristement ne s’émoussent
Elle ne marche plus, l’horizon se profile
Il ne lui reste rien qui vaille le détour
Dans sa tête, sans fin, les images défilent….
Sa dernière épopée, voyage sans retour…