Le soleil se lève, seul quand je me réveille. Touché par le désastre. Rien de plus néfaste. À peine regardé, comme si on avait jamais existé. Comment peux-tu m'avoir fait autant de mal, tu ne réalise pas que tu as les mains sales. Bref, je t'ai oublié, ce n'est plus la peine de t'excuser. Tu n'es que mirage, je vais sur mon bateau et je prend le large. Pour une fois, je vais partir loin d'ici, je n'ai plus personne, ce monde m'affaiblit... Partir loin, où le sexe n'as plus faim, et que tout ce qui compte c'est les liens.
Partir au loin.. La mer est proche, l'eau me touche presque les pieds, mes idées refoulée parte au loin avec un courant, un courant qui ravale chacune de mes larmes. Plus mes pas avance, plus je distingue au loin le chemin de notre passé. Mes pieds s'enfonce dans le sable et je pense, je pense un peu plus a nous qu'autre fois, je me dis que tu n'en valais surement plus la peine. Et je continue de marcher, me retournant une dernière fois avant de franchir la ligne. J'ai cru t'apercevoir au loin, mais a bien y pensé c'est surement ce que j'aurais le plus détesté. J'ai continué sans plus jamais regardé ta silhouette au loin s'effacé. Plus je marche, plus de haine dans ma démarche. Tu as fait tes choix, et je dois faire les miens. J'ai choisis de partir loin d'ici, et de gardé mon cœur pour une personne qui en vaudrait vraiment la peine. J'espère qu'un jour tu réalisera que l'amour n'est pas une fête foraine, mais bien une émotion humaine. Je marche. Encore pour oublié. Tu m'avais donné l'espoir, et avec toi je n'avais plus peur dans le noir. Comment peux-tu me laisser ainsi, et partir avec une autre femme dans un lit... Tu es comme tout les autres, une mélodie fausse. Tu es surement mieux avec ce monde. Pendant que tu t'amuse, je chercherai mon bonheur. Dans cette ville, les gens me font pensé à toi. On se croirais réellement dans une fête foraine. Est-ce que j'attire la peste? Dans ce cas, pourquoi les gens me déteste... Les mots me manque et mes larmes monte, je me fond en décors a cette ville qui ne m'aperçois plus et en cette foule qui n'écoute plus. J'essaie fort, mes mots restent coincé. Mon cœur bat fort, je crois que je réalise à l'instant même. J'imagine que je pourrais avoir le monde a mes pieds, si je ne me laisserais plus abattre lorsque tu me met de côté. Avant, notre relation était si belle. Je ne sais pas se qui c'est passé, mais tu as changé. Je crois que c'est cette ville qui rends fou, tous affamé comme des loups. Il te change et t'oblige à être autre chose que toi-même. Je ne suis pas tombé dans leurs tromperies, si seulement toi aussi... Ah non, je ne dois plus pensé au passé, je vais vers l'avant et je laisse la vie allé. Si tout est terminé, c'est surement parce que c'était décidé. Tu trouveras mieux ailleurs avec une femme qui sera comprendre tes valeurs. Mais tout de même, il serait dure de nié que tu m'incite à rêver. Même si je sais que tu nie une belle histoire, comment t'en vouloir? Je court à reculons, c'est contradictoire au temps! Je voudrais pensé au présent mais les images me ramène au néant... Les jours et les nuits passe, la musique reviens un peu plus mélancolique a chaque instant. Je sais que je ne suis plus ton appât mais sa fait mal, mal de croire qu'un espoir en moi c'est éteint, qu'il est temps de regardé par l'avant. Je laisse la vie de côté et je ne pense plus à demain...
Je suis à quelque part, probablement un endroit oublier. C'est peut-être mieux comme cela, même si j'aurai voulu une lettre de toi. Mais bon, si dans la vie il faut prendre des risques, il faut aussi savoir s'en allé. Dans ma maison, je suis heureuse. Il n'y as que amour et bonheur, le temps se mélange avec les heures. Avec un peu de chance, je trouverai l'âme sœur. Seul un homme, aussi désespéré que moi, viendra me trouvé pour me prendre dans ses bras. Mais désespéré n'implique t'il pas des bras désespéré? Bref, je n'y pense plus. J'essaie plutôt de m'imaginer mes nuits remplis avec cette homme imaginaire et doux. J'imagine qu'a chaque instant il serait comme toi, exactement comme tu l'étais avec moi. J'imagine qu'a un moment il te surpassera, que lui restera! Mais à quoi bon ses scénarios si plus rien ne me vos. J'aurais préférer qu'on m'interdise à toi.
Partir au loin.. La mer est proche, l'eau me touche presque les pieds, mes idées refoulée parte au loin avec un courant, un courant qui ravale chacune de mes larmes. Plus mes pas avance, plus je distingue au loin le chemin de notre passé. Mes pieds s'enfonce dans le sable et je pense, je pense un peu plus a nous qu'autre fois, je me dis que tu n'en valais surement plus la peine. Et je continue de marcher, me retournant une dernière fois avant de franchir la ligne. J'ai cru t'apercevoir au loin, mais a bien y pensé c'est surement ce que j'aurais le plus détesté. J'ai continué sans plus jamais regardé ta silhouette au loin s'effacé. Plus je marche, plus de haine dans ma démarche. Tu as fait tes choix, et je dois faire les miens. J'ai choisis de partir loin d'ici, et de gardé mon cœur pour une personne qui en vaudrait vraiment la peine. J'espère qu'un jour tu réalisera que l'amour n'est pas une fête foraine, mais bien une émotion humaine. Je marche. Encore pour oublié. Tu m'avais donné l'espoir, et avec toi je n'avais plus peur dans le noir. Comment peux-tu me laisser ainsi, et partir avec une autre femme dans un lit... Tu es comme tout les autres, une mélodie fausse. Tu es surement mieux avec ce monde. Pendant que tu t'amuse, je chercherai mon bonheur. Dans cette ville, les gens me font pensé à toi. On se croirais réellement dans une fête foraine. Est-ce que j'attire la peste? Dans ce cas, pourquoi les gens me déteste... Les mots me manque et mes larmes monte, je me fond en décors a cette ville qui ne m'aperçois plus et en cette foule qui n'écoute plus. J'essaie fort, mes mots restent coincé. Mon cœur bat fort, je crois que je réalise à l'instant même. J'imagine que je pourrais avoir le monde a mes pieds, si je ne me laisserais plus abattre lorsque tu me met de côté. Avant, notre relation était si belle. Je ne sais pas se qui c'est passé, mais tu as changé. Je crois que c'est cette ville qui rends fou, tous affamé comme des loups. Il te change et t'oblige à être autre chose que toi-même. Je ne suis pas tombé dans leurs tromperies, si seulement toi aussi... Ah non, je ne dois plus pensé au passé, je vais vers l'avant et je laisse la vie allé. Si tout est terminé, c'est surement parce que c'était décidé. Tu trouveras mieux ailleurs avec une femme qui sera comprendre tes valeurs. Mais tout de même, il serait dure de nié que tu m'incite à rêver. Même si je sais que tu nie une belle histoire, comment t'en vouloir? Je court à reculons, c'est contradictoire au temps! Je voudrais pensé au présent mais les images me ramène au néant... Les jours et les nuits passe, la musique reviens un peu plus mélancolique a chaque instant. Je sais que je ne suis plus ton appât mais sa fait mal, mal de croire qu'un espoir en moi c'est éteint, qu'il est temps de regardé par l'avant. Je laisse la vie de côté et je ne pense plus à demain...
Je suis à quelque part, probablement un endroit oublier. C'est peut-être mieux comme cela, même si j'aurai voulu une lettre de toi. Mais bon, si dans la vie il faut prendre des risques, il faut aussi savoir s'en allé. Dans ma maison, je suis heureuse. Il n'y as que amour et bonheur, le temps se mélange avec les heures. Avec un peu de chance, je trouverai l'âme sœur. Seul un homme, aussi désespéré que moi, viendra me trouvé pour me prendre dans ses bras. Mais désespéré n'implique t'il pas des bras désespéré? Bref, je n'y pense plus. J'essaie plutôt de m'imaginer mes nuits remplis avec cette homme imaginaire et doux. J'imagine qu'a chaque instant il serait comme toi, exactement comme tu l'étais avec moi. J'imagine qu'a un moment il te surpassera, que lui restera! Mais à quoi bon ses scénarios si plus rien ne me vos. J'aurais préférer qu'on m'interdise à toi.