Tu es partie me laissant seul dans mon ignorance,
Après une vie passé dans le bonheur et dans la joie,
Et de ton mal-être, tu ne lui donnais aucune apparence.
Pourquoi tu faisais sa ? Aux yeux de qui, aux yeux de quoi ?
Jamais tu n'a montré tes propres souffrances,
Tu as toujours préféré t'occuper des notre,
Quitte à en mourir, tu n'a jamais perdu patience,
de toute les femmes tu es ma référence.
Tu m'a appris, sous ton aile j'ai vécu,
Tu m'a montrer, c'est ta voie que je suivais.
Depuis que tu es monté là-haut, je suis perdu,
Maintenant que tu es là-haut, le ciel est parfait.
Tu pensais accomplir un devoir,
Celui d'aider plus pauvre que toi,
Tu ne te regardais jamais devant un miroir,
Car tu ne pensais jamais a toi.
Je suis seul dans mes larmes,
Comme mon poème un peu perdu.
Je suis vagabondant déposant les armes,
Je n'ai plus la force de me battre.
Il y a cette impretion d'être en trop,
Cette impretion qui tu enterrais,
Mais maintenant que le paradis est beau,
Mon sourire s'est suicidé.
Si un jour tu veux redescendre,
Un coeur solitaire d'attend.
Si un jour tu veux renaître de tes cendres,
Mon coeur suicidaire t'attend.
Tes origines coule dans mon sang,
L'italie est digne de toi grand-mère,
Sans toi, mon monde est moin souriant,
Sans toi, ma vie n'a plus de repère.
Il parait que tu es au paradis,
C'est ton choix, ton envie.
Pour moi, tu es morte et enterrer,
Et je ne suis que rempli de regret.
Après une vie passé dans le bonheur et dans la joie,
Et de ton mal-être, tu ne lui donnais aucune apparence.
Pourquoi tu faisais sa ? Aux yeux de qui, aux yeux de quoi ?
Jamais tu n'a montré tes propres souffrances,
Tu as toujours préféré t'occuper des notre,
Quitte à en mourir, tu n'a jamais perdu patience,
de toute les femmes tu es ma référence.
Tu m'a appris, sous ton aile j'ai vécu,
Tu m'a montrer, c'est ta voie que je suivais.
Depuis que tu es monté là-haut, je suis perdu,
Maintenant que tu es là-haut, le ciel est parfait.
Tu pensais accomplir un devoir,
Celui d'aider plus pauvre que toi,
Tu ne te regardais jamais devant un miroir,
Car tu ne pensais jamais a toi.
Je suis seul dans mes larmes,
Comme mon poème un peu perdu.
Je suis vagabondant déposant les armes,
Je n'ai plus la force de me battre.
Il y a cette impretion d'être en trop,
Cette impretion qui tu enterrais,
Mais maintenant que le paradis est beau,
Mon sourire s'est suicidé.
Si un jour tu veux redescendre,
Un coeur solitaire d'attend.
Si un jour tu veux renaître de tes cendres,
Mon coeur suicidaire t'attend.
Tes origines coule dans mon sang,
L'italie est digne de toi grand-mère,
Sans toi, mon monde est moin souriant,
Sans toi, ma vie n'a plus de repère.
Il parait que tu es au paradis,
C'est ton choix, ton envie.
Pour moi, tu es morte et enterrer,
Et je ne suis que rempli de regret.