Tu es parie, maman
Je veux t’écrire ce sentiment,
Que je n’ai su te dire maman.
Du premier cri à l’accouchement,
Que je t’envoie comme un serment.
Ma vie d’ado, puis de parent,
Jusqu’au grand jour du jugement.
Tu surveilles tous mes mouvements,
Mes premiers pas, premiers tourments.
Nos mains s’attirent comme des aimants,
Mais chacun choisit son moment.
Plus qu’un amour d’adolescent,
Qui parait durer un instant.
Moins compliqué que deux amants,
Un simple besoin permanent.
Et vient ma femme, puis mes enfants,
C’est la famille, l’appartement.
Je ne t’oublie par pour autant,
Je me découvre un cœur très grand.
Pas assez de remerciements,
Pourront combler ton dévouement.
Pourtant j’arrête les compliments,
Pour te déclarer simplement.
« Écoute moi du firmament,
Je t’aime, je t’aimerai MAMAN »Je veux t’écrire ce sentiment,
Que je n’ai su te dire maman.
Du premier cri à l’accouchement,
Que je t’envoie comme un serment.
Ma vie d’ado, puis de parent,
Jusqu’au grand jour du jugement.
Tu surveilles tous mes mouvements,
Mes premiers pas, premiers tourments.
Nos mains s’attirent comme des aimants,
Mais chacun choisit son moment.
Plus qu’un amour d’adolescent,
Qui parait durer un instant.
Moins compliqué que deux amants,
Un simple besoin permanent.
Et vient ma femme, puis mes enfants,
C’est la famille, l’appartement.
Je ne t’oublie par pour autant,
Je me découvre un cœur très grand.
Pas assez de remerciements,
Pourront combler ton dévouement.
Pourtant j’arrête les compliments,
Pour te déclarer simplement.
« Écoute moi du firmament,