Je suis une particule qui demande qu'a grandir pour ainsi voir à mon tour
Le plus beau jour
Je demande qu'a grandir
Durant neuf mois dans se qui est chère
Pour une mère voyant son ventre s'arrondir jusqu'à son terme final
Quoi de plus normal de voir au bout
Une jolie frimousse et un petit corps si frêle et fragile portant l'insouciance
Et l'innocence bien que je verrai jamais
Le jour pourtant comme un arbre que papa avait planté espérant me voir grandir en même temps.
Joli moment d'euphorie quand ont l'a appris et
Se beau moment dura un court instant ou l'on porte la vie :
Jusqu'au moment fatidique
Voyant une marre de sang
Et se dire je n'aurai pas d'enfants.
Dame nature en à voulu autrement
Je serai pas maman tristesse
D'un jour d'une mère
Je ne découvrirait
jamais son doux visage
Est un sort un mauvais présage
De savoir que ses petits pieds
Ne grandiront pas
De se dire si c'était elle
Si c'était lui car la vie en à voulu ainsi
sans un prénom
Sans un nom se dire pourquoi
C'est tombée sur moi .
Tristesse des deux
Car l'amour se vit a deux
Pour en récolter le fruit de la vie
Notre plus belle des richesses
Resteront nos enfants
Pour le bonheur d'être parents.
Et pourtant parfois dans le coeur
D'une mère ne pouvant donné la vie
Ne voyant jamais son ventre s'arrondir
Traînant leur tristesse jusqu'à en voir
Le dégoût des poussettes et des berceaux
Des mères en mal d'enfants c'est si fréquent.
Quand des coeurs brisés d'un oeufs regeter dans le ventre d'une mère dure a consolée pour ne pas portée
La vie de se ventre arrondi
Pour son petit .
Linna
Le plus beau jour
Je demande qu'a grandir
Durant neuf mois dans se qui est chère
Pour une mère voyant son ventre s'arrondir jusqu'à son terme final
Quoi de plus normal de voir au bout
Une jolie frimousse et un petit corps si frêle et fragile portant l'insouciance
Et l'innocence bien que je verrai jamais
Le jour pourtant comme un arbre que papa avait planté espérant me voir grandir en même temps.
Joli moment d'euphorie quand ont l'a appris et
Se beau moment dura un court instant ou l'on porte la vie :
Jusqu'au moment fatidique
Voyant une marre de sang
Et se dire je n'aurai pas d'enfants.
Dame nature en à voulu autrement
Je serai pas maman tristesse
D'un jour d'une mère
Je ne découvrirait
jamais son doux visage
Est un sort un mauvais présage
De savoir que ses petits pieds
Ne grandiront pas
De se dire si c'était elle
Si c'était lui car la vie en à voulu ainsi
sans un prénom
Sans un nom se dire pourquoi
C'est tombée sur moi .
Tristesse des deux
Car l'amour se vit a deux
Pour en récolter le fruit de la vie
Notre plus belle des richesses
Resteront nos enfants
Pour le bonheur d'être parents.
Et pourtant parfois dans le coeur
D'une mère ne pouvant donné la vie
Ne voyant jamais son ventre s'arrondir
Traînant leur tristesse jusqu'à en voir
Le dégoût des poussettes et des berceaux
Des mères en mal d'enfants c'est si fréquent.
Quand des coeurs brisés d'un oeufs regeter dans le ventre d'une mère dure a consolée pour ne pas portée
La vie de se ventre arrondi
Pour son petit .
Linna