Sur la colline des amants
Je mis rendais sans trop tardais
Pour me beignet dans les torrents
Délicieux de la liberté
J’aimais flâner de fleur en fleur
Pour léchait leurs pétales d’or
Des roses aux nobles valeurs
Chantaient comme des grands ténors
Des cerfs amoureux me parlaient
La belle langue des fusions
J’étais sourd a ces mots sucrés
Car l’affection n’est qu’illusion
L’ascension était facile
Dans un élan de poésie
Je deviner la Sicile
Quand j’allais a ce bel abris
Cette colline est rose
Le calme s’y fait entendre
Comme dans les maisons closes
J’y vais pour des saisons tendre
J’aimais boire dans ses fleuves
Comme dans le lac du plaisir
Cette eau douce est neuve
En boire était mon loisir
Sur des arbres poussait des fruits
Savoureux et envenimaient
J’en mangeais, ils étaient gratuits
Maintenant c’est dur d’en laper
Au sommet je peux observer
Ton corps impudiquement nu
Des paysages par milliers
Me jalonnent des avenues
Je m’étends sur cette pointe
Faite de terre et de chair
Ma langue est la conjointe
De t’es seins beaux tel un enfer
Je descends de ce mont sacré
Le sourire a mes lèvres
Comme un soldat enchanter
D’avoir connu cette fièvre
Ma langue n’est pas fatiguer
De ce circuit sur t’es beaux seins
Quel agréable randonné !
Ou j’étais serf et souverain
A quel temps dois-je en parlé ?
Au passé ou bien au présent ?
Est-il vrai que tu m’as quitté ?
Est-il faux que l’on soit amants ?
Je mis rendais sans trop tardais
Pour me beignet dans les torrents
Délicieux de la liberté
J’aimais flâner de fleur en fleur
Pour léchait leurs pétales d’or
Des roses aux nobles valeurs
Chantaient comme des grands ténors
Des cerfs amoureux me parlaient
La belle langue des fusions
J’étais sourd a ces mots sucrés
Car l’affection n’est qu’illusion
L’ascension était facile
Dans un élan de poésie
Je deviner la Sicile
Quand j’allais a ce bel abris
Cette colline est rose
Le calme s’y fait entendre
Comme dans les maisons closes
J’y vais pour des saisons tendre
J’aimais boire dans ses fleuves
Comme dans le lac du plaisir
Cette eau douce est neuve
En boire était mon loisir
Sur des arbres poussait des fruits
Savoureux et envenimaient
J’en mangeais, ils étaient gratuits
Maintenant c’est dur d’en laper
Au sommet je peux observer
Ton corps impudiquement nu
Des paysages par milliers
Me jalonnent des avenues
Je m’étends sur cette pointe
Faite de terre et de chair
Ma langue est la conjointe
De t’es seins beaux tel un enfer
Je descends de ce mont sacré
Le sourire a mes lèvres
Comme un soldat enchanter
D’avoir connu cette fièvre
Ma langue n’est pas fatiguer
De ce circuit sur t’es beaux seins
Quel agréable randonné !
Ou j’étais serf et souverain
A quel temps dois-je en parlé ?
Au passé ou bien au présent ?
Est-il vrai que tu m’as quitté ?
Est-il faux que l’on soit amants ?