C’est sur les pétales étendus de son corps
Que s’offre les maux de l’amour,
Ces sentiments voluptueux
Qui se découvrent à la pointe d’une plume.
Sous chacun de ses gestes
Se dessine les caresses enivrantes et brûlantes
Tourmentées par le désir
Telle une ode à la beauté,
Où se partage l’étreinte soyeuse de l’amour,
De ces ombres glissant doucement
Le long des heures inachevées
Sous le chant clos des battements de son cœur.
L.Deléglise