Sainte Croix aux Mines
Au fond d’une étroite vallée
Au pied des grands verts de prés
Et des forêts profondes
Où le Taennchel jadis abritait
Gnomes, lutins et farfadets
Reptiles, aigles, et quelques furets
Dans ce lieu magique circulait,
Légendes, contes et différents secrets
La Liepvrette coule son flot bavard
Où l’été barbotent des canards
Claire cristalline lorsque le temps est beau
Boueuse et mousseuse
Aux jours de grande pluies
Ou lorsqu’au dégel du printemps
Des monts voisins dévalent
De la Bouille et de Bougival
De la Timbach et du Petit-Rombach
Les ruisselets qui en été murmurent
Mais au printemps sur les prairies débordent
Sur les bords d’un village s’est installé
Rassemblant des hameaux isolés
Il fut longtemps un centre minier
Du minerai d’argent fut exploité
Au cours des siècles il a évolué
Tous les métiers s’y étant installés
Longtemps le battement des métiers à tisser
Donnaient vie à un air de gaieté
Aujourd’hui tout ceci on a oublié
Une orgueilleuse demeure nommé « Burrus »
Une riche villa au centre d’un grand parc
Témoigne de sainte croix la prospérité
Ce temps est désormais passé
Magasins et boutiques se sont fermé
Peu a peu avec le temps qui a passé
Sainte croix aux mines est devenue paumé
Ce petit patelin bien aimé c’est retiré
Pour presque complètement s’effacer
La « villa » ouvre toujours ses entrées
Même si ces vitalités on bien changées
Offrant maintenant, son jardin et son potager
L’ombre de grands frênes colorés
Et d’un énorme chêne, de glands composés
Offrent aussi, aux jeunes et aux chercheurs éduqués
Grâce a la médiathèque complétée
De livres, de romans, et de bandes dessinées
Les gens persistent à donner une certaine activité.
Les bruits de la ville et ses débordements
Ont encore épargné Sainte Croix aux Mines
D’où le pic des mineurs
Depuis des siècles a disparut
Au fond d’une étroite vallée
Au pied des grands verts de prés
Et des forêts profondes
Où le Taennchel jadis abritait
Gnomes, lutins et farfadets
Reptiles, aigles, et quelques furets
Dans ce lieu magique circulait,
Légendes, contes et différents secrets
La Liepvrette coule son flot bavard
Où l’été barbotent des canards
Claire cristalline lorsque le temps est beau
Boueuse et mousseuse
Aux jours de grande pluies
Ou lorsqu’au dégel du printemps
Des monts voisins dévalent
De la Bouille et de Bougival
De la Timbach et du Petit-Rombach
Les ruisselets qui en été murmurent
Mais au printemps sur les prairies débordent
Sur les bords d’un village s’est installé
Rassemblant des hameaux isolés
Il fut longtemps un centre minier
Du minerai d’argent fut exploité
Au cours des siècles il a évolué
Tous les métiers s’y étant installés
Longtemps le battement des métiers à tisser
Donnaient vie à un air de gaieté
Aujourd’hui tout ceci on a oublié
Une orgueilleuse demeure nommé « Burrus »
Une riche villa au centre d’un grand parc
Témoigne de sainte croix la prospérité
Ce temps est désormais passé
Magasins et boutiques se sont fermé
Peu a peu avec le temps qui a passé
Sainte croix aux mines est devenue paumé
Ce petit patelin bien aimé c’est retiré
Pour presque complètement s’effacer
La « villa » ouvre toujours ses entrées
Même si ces vitalités on bien changées
Offrant maintenant, son jardin et son potager
L’ombre de grands frênes colorés
Et d’un énorme chêne, de glands composés
Offrent aussi, aux jeunes et aux chercheurs éduqués
Grâce a la médiathèque complétée
De livres, de romans, et de bandes dessinées
Les gens persistent à donner une certaine activité.
Les bruits de la ville et ses débordements
Ont encore épargné Sainte Croix aux Mines
D’où le pic des mineurs
Depuis des siècles a disparut