Soleil couchant sous un ciel de printemps,
Il faut que tu partes maintenant, je le sens.
Ma douleur n'en sera que plus grande
Il ne faut pas que tu m'attendes.
Je te regarde t'en allé, le cœur en peine ;
Mon amour se fane pendant que s'installe la haine.
Les larmes coulent sur mes joues,
Ma voix s'éteint dans mon cou.
Mes pensées laissent place aux souvenirs,
Je crains que ce ne soit pire.
Ma haine devient de la souffrance.
Mon regard divague le long du chemin.
Je cherche ton visage, en vain.
Tu es déjà loin de moi, à présent.
Il faut que tu partes maintenant, je le sens.
Ma douleur n'en sera que plus grande
Il ne faut pas que tu m'attendes.
Je te regarde t'en allé, le cœur en peine ;
Mon amour se fane pendant que s'installe la haine.
Les larmes coulent sur mes joues,
Ma voix s'éteint dans mon cou.
Mes pensées laissent place aux souvenirs,
Je crains que ce ne soit pire.
Ma haine devient de la souffrance.
Mon regard divague le long du chemin.
Je cherche ton visage, en vain.
Tu es déjà loin de moi, à présent.